Cher(e) ami(e),
Après 50 ans, la mémoire commence à nous jouer des tours : les noms propres s’échappent, on égare ses lunettes, on oublie le coup de téléphone promis.
Pour beaucoup d’entre nous, ces manifestations sont banales et sans gravité.
Mais pour certaines personnes, ces anomalies s’accompagnent d’autres altérations plus inquiétantes : la notion de temps s’estompe, l’espace devient étranger, la personne ne reconnaît plus son environnement familier, les gestes de la vie quotidienne deviennent, au bout d’un laps de temps, difficiles.
Après un itinéraire parfois encore long et parsemé d’embûches, le verdict tombe : il s’agit de la maladie d’Alzheimer.
L’annonce de ce diagnostic représente une tragédie pour le patient et sa famille, qui savent qu’il n’existe ni traitement curatif ni prévention efficace de cette maladie :
- Elle « gomme » les souvenirs les plus précieux, la faculté de penser, de vivre une vie harmonieuse
- Elle atteint le cerveau, qui fait partie de nos organes nobles, mystérieusement fabuleux et surprenant
- Elle n’est pas seulement mortelle, mais déshumanise les proches touchés
- Les médicaments anti-cholinestérasiques et inhibiteurs glutaminergiques sont incapables d’enrayer ou même de freiner le cours de la maladie
Après le sida et le cancer, Alzheimer et son nombre impressionnant de patients atteints fait la une des informations médicales : quand va-t-on enfin découvrir le mécanisme et le traitement?
Sur les 300 médicaments expérimentaux, testés entre 2000 et 2016, à peine une poignée a été autorisée par la Food and Drug Administration (FDA), notamment la memantine (Ebixa) qui inhibe la transmission des signaux cérébraux, réduit l’effet toxique du glutamate mais aussi la neurotransmission indispensable au maintien de la mémoire.
Mais j’ai une bonne nouvelle :
On a trouvé la clé manquante… : L’ODORAT !
Il y a un signe qui a été négligé par TOUS les chercheurs : 95% des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer présentent une perte d’odorat.
Cette perte de l’odorat intervient dans les tout premiers stades de la maladie.
Les patients ne peuvent plus sentir l’odeur de la nature, des proches, d’un parfum, ni même les saveurs d’un plat…
Cette déficience olfactive affecte indéniablement la qualité de vie.
Cela coïncide avec une baisse de la mémorisation des stimuli odorants.
Inversement, une étude menée au Japon a montré que les patients présentant une perte d’odorat innée avaient 5x plus de risque de développer une maladie d’Alzheimer par la suite.
Ces preuves indiquent un lien indéniable entre la perte d’odorat et la perte de mémoire.
C’est le thème de mon tout dernier livre que suis fier de vous présenter aujourd’hui : ALZHEIMER : LA MALADIE DÉCRYPTÉE (vous pouvez le consulter via le site d’Amazon en cliquant ici)
Cela expliquerait l’explosion récente des cas d’Alzheimer
Au cours de l’histoire de l’évolution de l’Homme, le système gustatif s’est progressivement substitué à l’odorat.
Tout cela est dû principalement à la découverte de la cuisson.
Auparavant, notre ancêtre recourait à son système olfactif qui était sa « boussole » et son instinct de survie.
La cuisson a changé la donne, car elle relègue l’odorat au second plan.
Lorsqu’on mange un aliment cuit, son odeur change et donc notre odorat est « trompé ». On ignore toutes les alertes que nous envoie l’odorat à propos d’un aliment…et des substances toxiques qui s’y cachent.
Relégué au second plan, le système olfactif a subi d’importantes mutations génétiques, et une dégénérescence progressive de ses fonctions dans le cerveau…
…Or les régions associées à l’odorat sont l’hippocampe et le système limbique…
… Qui jouent un rôle fondamental dans l’acquisition de la mémoire, l’apprentissage, les aspects émotionnels du comportement…
Autrement dit, précisément celles qui sont touchées au cours de la maladie d’Alzheimer !!
C’est loin d’être un hasard.
L’alimentation « vivante » agrandit le cerveau
Voilà pourquoi il est primordial de relancer votre odorat.
Et pour cela, je vous conseille de manger… CRU !
Tous les animaux qui vivent sur cette planète se nourrissent exclusivement d’aliments crus.
L’homme est le seul animal à cuire ses aliments… Il est aussi le seul à être atteint de maladies dégénératives (avec les animaux domestiques qui partagent notre modus vivendi).
Gandhi disait que « pour se débarrasser d’une maladie, il est nécessaire de supprimer l’usage du feu pour la préparation des repas ».
L’alimentation « vivante » est la meilleure manière de protéger son cerveau : elle consiste à manger les aliments à leur état naturel et facilement assimilables par notre organisme.
Ils doivent être végétaux, majoritairement crus et de qualité biologique.
- Les aliments vivants, essentiellement ceux qui sont riches en chlorophylle, donc en enzymes et en oxygène, représentent la source la plus pure, la plus originelle et la plus concentrée d’éléments nutritifs.
- Ce sont les légumes à feuilles vertes, les micro-algues d’eau douce (spiruline, Chlorelle, Aphanizomenon Flos Aquae) ainsi que les jus verts, particulièrement les jus d’herbe de blé, dont la teneur en chlorophylle est inégalée.
Evidemment il n’est pas possible de consommer 100% cru. Certains « aliments » crus sont indigestes et seront rendus digestes ou goûteux par la cuisson (pomme de terre, haricots, céréales…).
Je vous conseille donc 70% de cru et 30% de cuit.
En parallèle, vous allez stimuler votre odorat, et donc les zones du cerveau associées à la mémoire et la concentration :
Récupérer son odorat en 28 jours ?
Les dernières études sont très encourageantes : en restaurant l’odorat, les patients atteints de dégénérescence retrouvent des capacités de raisonnement en l’espace de quelques jours…
Au Japon, les chercheurs ont montré que la diffusion d’huiles essentielles de romarin et d’essence de citron le matin ainsi que d’une synergie de lavande et de Néroli le soir restaurait le système olfactif au bout de 28 jours !
Mais le plus impressionnant : les patients retrouvaient la capacité de formuler des idées abstraites et le sens de l’orientation !
Ces résultats ne sont pas passé inaperçus.
- En France, une première étude à grande échelle a démarré dans trois hôpitaux de l’Assistance publique, visant à mesurer l’impact des diffusions aromatiques sur les troubles du comportement et du sommeil de ces patients.
- Une autre étude à Nice, menée au sein du Centre de la Mémoire du CHU vise, entre autres, à évaluer l’impact de la diffusion d’huiles essentielles sur le comportement, la cognition et la motricité des malades d’Alzheimer.
Cette prise de conscience constitue une avancée décisive dans la compréhension des mécanismes qui conduisent à la maladie d’Alzheimer.
Ces huiles relancent DÉJÀ votre mémoire
Pourtant cela fait longtemps que l’on connait le pouvoir des huiles pour la mémoire.
Elles agissent sur l’hippocampe pour inverser les symptômes du déclin cognitif (oublis, confusions, maladresses…) :
- Dans une étude de 2013, la British Psychological Society a ainsi démontré que les individus qui avaient respiré la fragrance « romarin » s’étaient montrés plus performants intellectuellement que ceux non soumis à cette huile essentielle.
- L’huile essentielle de sauge d’Espagne permet de stimuler l’attention. Ses constituants antioxydants inhiberaient l’impact du stress oxydatif sur les cellules du cerveau chargées de la protection des neurones.
- Les huiles essentielles de menthe poivrée, de gingembre et de cyprès toujours vert ainsi que l’essence de citron réveillent le cerveau et stimulent l’activité intellectuelle.
- Le linalol à dose élevée contenu dans la lavande fine et le lavandin super améliore la mémorisation.
- Il est classique d’attribuer à l’huile essentielle de marjolaine des propriétés calmantes ; or, des expérimentations sur l’énergétique des huiles essentielles lui font attribuer, aussi, des propriétés toniques, comme on l’a observé chez les patients nerveux ayant perdu le sommeil – grâce au terpinéol-4 contenu dans la plante.
Et il en existe beaucoup d’autres…
Pourquoi personne n’en parle ?
Cette découverte du mécanisme et du traitement de la maladie d’Alzheimer aurait du faire l’effet d’une bombe dans le milieu médical.
Et pourtant !
Des milliers de neurologues et experts continuent d’ignorer cette piste…
C’est sans aucun doute à cause de leur vision étriquée de la médecine. Ces spécialistes se limitent à leur champ de connaissance et n’ouvrent pas leurs recherches à d’autres disciplines.
Mais il est impossible d’expliquer une maladie aussi complexe en se cantonnant à 1 seule discipline !
Aucune guérison n’est possible sans une approche globale du malade.
C’est cette prise de conscience qui m’a poussé à publier mon nouveau livre sur Alzheimer : la maladie décryptée.
Si cette maladie est encore un mystère pour vous, je vous conseille en toute franchise de le lire, car j’y explique précisément comment elle survient et comment vous protéger.
L’homéopathie m’a permis de franchir ce palier supplémentaire dans la compréhension et l’approche des maladies : une médecine globale, holistique et même environnementale.
Il me restait à étudier l’homme dans la société, pour cela je poursuis à l’université Paris nord une formation en anthropologie. Ce fut une révélation, surtout quand j’ai prolongé cette formation en paléoanthropologie.
En parcourant l’évolution de chaque espèce dans le temps et l’espace, j’ai pris compris que les ancêtres qui s’adonnaient à une alimentation crue ne pouvaient pas développer de pathologie neuro-dégénérative.
Leur système olfactif qui représentait leur boussole dans un monde hostile, était relié au cerveau limbique qui recèle l’hippocampe et l’amygdale.
Ce nouveau paradigme que je vous propose, a déjà fait ses preuves dans ses deux approches : l’alimentation crue et l’aromathérapie.
L’approche globale des maladies est le fil conducteur de cet ouvrage.
Destiné aux patients déjà aux prises avec la maladie d’Alzheimer, aux patients pré-Alzheimer et aux personnes ayant un risque élevé de développer la maladie, ce livre donne toutes les clefs pour inverser le déclin cognitif.
Il constitue un événement d’une portée médicale et scientifique considérable.
Vous pouvez vous le procurer pour la modique somme de 9,99 euros en cliquant ici : Alzheimer, la maladie décryptée.
Portez-vous bien !
Jean-Pierre Willem
Je ne possède pas kindle
Envisagez-vous la version papier svp? elle est indispensable!
ce serait beaucoup plus facile
Merci de votre attention
Bonjour Dr Willem , Je suis intéressée par votre livre : Alzheimer , la maladie décryptée .
Peut – on l’obtenir en version papier ?
Merci
Cordialement
Mme Sudhibhasilp
je n’arrive pas à commander votre livre : alzhiemer
que veux dire le format quindle?
excusez .mon ignorance
je n’ arrive pas a commander votre livre :alzheimer
voulez- me renseigner
merci
Je suis très intéressée par tout ce qui touche Alzheimer.
Je suis passionnée par la visite des
Laboratoires des chercheurs.
J’aime vos commentaires’ c’est interessant de confronter ce que dire les mediais
Avec vos commentaires plus certifiés.
J’aimerais mieux une version papier pour le confort de mes yeux. Merci de me dire quand il existera
Le livre du Dr Willem m’intéresse mais il est en format Kindle et je ne peux le lire –
Ce livre existe-t-il en édition imprimée ?
Merci pour votre réponse.
Micheline NOEL – 80 ans –
comment obtenir ce livre en papier au lieu du format numérique qui oblige à acheter un appareil de plus !
Bonjour,j’ai déjà vos deux livres sur les HE et je vais prendre aussi celui-ci,car j’y crois! j’ai quand même un problème avec les HE .La Lavande Aspic sur une piqure de moustiques ou même la Lavande Vraie me donnent des allergies (brûlure pendant plusieurs jours).Je ne peux donc pas utiliser les HE en cutané.Avez-vous un avis ou à qui dois je m’adresser.Merci de me répondre.
Merci de votre lettre, mais comme beaucoup nous aimerions avoir la possibilité de le lire sur papier.
Merci de nous indiquer l ‘éditeur qui aurait eu la gentillesse de vous imprimer, et comment se le procurer.
Cordialement