« Aujourd’hui, rien n’est plus urgent que de contrôler le tsunami sanitaire et économique qui a frappé le monde. Mais rien ne garantit notre succès dans ce domaine.
Si nous n’arrivons pas à le contrôler, nous aurons des années très sombres à venir.
D’un autre côté, la survenance d’une catastrophe reste incertaine, et pour que nous puissions l’empêcher, nous devons regarder loin, devant nous et derrière nous, afin de comprendre exactement ce qui se passe dans le monde », affirment les experts du Conseil Scientifique.
La France “meilleur système de santé du monde” n’est plus !
Cette oraison funèbre est une des révélations de la crise sanitaire historique qui a touché plus de 200pays dans le monde.
Avec près de 39 000 décès au début juillet, officiellement recensés victimes du Covid-19, la France se positionne en 5e position mondiale en termes de densité de décès par million d’habitants. Seuls la Belgique, l’Espagne, le Royaume-Uni et l’Italie ont fait pire que nous.
La France dispose d’une médecine de haut niveau qui a été à l’origine de nombreuses premières médicales en chirurgie, en cardiologie et dans bien d’autres domaines.
Cette excellence médicale fait de la France un des pays qui disposent d’une des meilleures qualités de soignants médicaux et paramédicaux au monde.
Globalement, cette qualité se retrouve dans toutes les spécialités, même si elle est beaucoup plus développée en médecine curative que préventive.
On a dû subir alors cette omniprésence des pontes médicaux, souvent pas d’accord entre eux mais monopolisant la parole officielle.
L’Université, les CHU, les académies, la Haute autorité de santé, l’ANSM, voire le Conseil de l’Ordre, tout ce petit monde de l’entre-soi dans une profusion verbeuse… tandis que l’on envoyait des malades en réanimation à l’autre bout de la France pour soulager les services engorgés d’Ile-de- France ou du Grand-Est alors que les établissements de santé privés, sur place, voyaient leur offre d’accueil de lits disponibles superbement ignorée pour ne pas dire méprisée !
Bref, on n’a pas encore tout vu, la crise s’est apaisée mais elle peut ressurgir dans quelques mois, et sa gestion pourrait alors faire naître d’autres surprises !…
Toujours est-il que l’on a vécu une dure réalité, à savoir le « passé d’une illusion », le mantra répété à satiété devenant une vérité établie que la France avait la « meilleure médecine du monde ».
C’est aux citoyens de se mobiliser dans les prochaines semaines pour proposer des solutions d’avenir et mettre la pression sur les pouvoirs publics pour agir et enfin donner la parole et les moyens d’interventions aux médecins du terrain recourant aux médecines naturelles et en particulier aux huiles essentielles antivirales.
Tandis que les populations attendent des résultats tangibles et rapides, la société occidentale ne comprend pas pourquoi, face à un phénomène infectieux d’une telle envergure, nos pays riches dotés de moyens techniques avancés ne puissent agir en conséquence.
On va sur la lune, on se prépare à visiter Mars et on est désarmé face à l’attaque des virus !
Un sursaut moral
En plein cœur de l’épidémie, le plus important est de garder le moral. Certes nous avons sous-estimé l’importance du coronavirus et il nous a fait peur…
Tous les passionnés d’Histoire le savent : l’humanité recule d’un pas pour avancer de trois. Le progrès de l’humanité c’est de survivre à ses propres coups d’arrêt.
Pour paraphraser Franklin Roosevelt, la seule chose dont nous devons avoir peur, c’est la peur elle-même.
C’est la plus mauvaise conseillère, et celle qui peut nous conduire aux pires erreurs individuelles et collectives si nous la laissons gagner.
Selon toute probabilité, cette maladie plus contagieuse que dangereuse devrait être circonscrite dans un temps raisonnable. Ce qui se passera après relèvera de la politique et de l’économie mais pas de la santé.
Car nous ne sommes pas à l’abri d’autres vagues de contamination, notamment s’il reste des poches d’infection irréductibles sur le territoire. Par ailleurs le virus continue à envahir la planète.
La prévention passée aux pertes et profits
Négliger la santé publique est un crime d’État.
Nul ne doit plus jouer avec nos vies et nous abandonner à des sacrifices humains massifs. Recherche de profits et gestion à court terme n’excusent rien.
Ce mépris de la prévention est d’autant plus inacceptable que les épidémiologistes rappellent régulièrement que la diffusion des maladies émergentes ou réapparues s’amplifie avec l’accroissement des populations, la concentration urbaine et les flux de personnes.
La liste des pandémies planétaires montre qu’elles sont désormais fréquentes et souvent redoutables.
Selon Roger Langlet « La pandémie nous aura rappelé aussi que les pensionnaires des maisons de retraite et des EHPAD, dont la vulnérabilité s’aggrave avec l’âge, doivent être attentivement protégés et entourés par un personnel suffisant, bien formé et correctement rémunéré.
Il est inadmissible que ces établissements soient si propices aux épidémies, outre la mortalité liée à la maltraitance insidieuse.
De leur amélioration aussi les élus doivent répondre par une meilleure réglementation de la gestion de ces établissements et un vrai contrôle.
La pandémie qui paralyse les nations porte elle-même les indices des futures catastrophes sanitaires.
Elles seront plus ravageuses encore si nous n’exigeons pas de nos élus qu’ils assument avant toute chose la mission de nous protéger et qu’ils en acquièrent la culture et les valeurs.
Sans quoi nous serons voués à passer notre santé aux pertes… et profits !
En Chine : découverte d’un nouveau virus de grippe porcine
À l’heure où la planète se débat face l’épidémie de coronavirus, une nouvelle menace va (peut-être) faire son apparition.
Des chercheurs de la China Agricultural University, viennent en effet de découvrir une nouvelle souche virale chez le porc : baptisée “G4”, il s’agirait d’une grippe porcine génétiquement proche de la grippe H1N1.
Pour rappel, la grippe A (H1N1) a provoqué une pandémie entre 2009 et 2010, surtout sur le continent africain.
Ils ont ainsi réussi à isoler 179 virus de grippe porcine ; parmi eux, les virus de la famille G4 étaient majoritaires.
Malheureusement ces virus G4 « possèdent tous les traits essentiels montrant une haute adaptabilité pour infecter les humains et pourraient donc être à l’origine d’une future pandémie ».
D’ailleurs, les virus G4 ont déjà commencé à infecter l’Homme puisque 10,4 % des ouvriers et personnes travaillant dans la filière porcine testés ont été contaminés…
Regrets éternels
Vous avez déjà vu cette formule d’inscription funéraire sur des tombes ?
Depuis l’irruption du Covid-19, les différents experts virologues et la foultitude de laboratoires ont été incapables de mettre à notre disposition un remède efficace, dans l’attente d’un vaccin hypothétique. Qu’attendent-ils pour passer la main… ?
Dès le départ de la crise, l’occultation des approches alternatives fut mise en route.
Rappelons que 40 à 50% des Français font appel aux médecines naturelles.
C’est par milliers qu’ils ont survécu grâce aux huiles essentielles de nombreux travaux scientifiques ont prouvé leur efficacité dans le domaine de l’infectiologie et plus particulièrement dans les pathologies virales (excepté pour le HIV).
On déplore la disparition de 30.000 Français. Mais combien auraient-ils pu être sauvés si cette information transparente pouvait circuler !
Par ailleurs nos universitaires et la clique de l’Ordre des médecins qui se sont aliénés à Big Pharma, échappent à la condamnation pour non-assistance à personne en danger !
Un précieux conseil
L’atteinte virale et la prise de médicaments chimiques a généré de nombreuses séquelles et plus particulièrement des toxines qui ont empoisonné l’ensemble de l’organisme.
Chaque jour, nous contractons de multiples toxines d’origine alimentaire, environnementale, atmosphérique.
Ces éléments agressifs, stockés dans les cellules graisseuses sont très difficiles à éliminer.
Le rôle essentiel de la transpiration est seulement d’éliminer les toxines métaboliques de l’organisme tandis que l’accumulation, la diversification et la nocivité des déchets dépassent nos capacités naturelles d’élimination. Seuls des rayonnements infra-rouge peuvent solutionner le problème.
S’il y a encrassement et accumulation de toxines dans le corps, les liquides interstitiels et nourriciers sont également chargés d’éliminer l’ensemble de déchets et ne peuvent plus remplir pleinement leur rôle de transporteurs nourricier ou purificateur.
L’apport de nutriments au niveau cellulaire sera moindre et l’évacuation des déchets cellulaires deviendra difficile, le métabolisme cellulaire se déroulera au ralenti et ainsi la reproduction cellulaire et tissulaire sera freinée.
Pour dépolluer l’organisme encombré nous disposons de deux techniques : la première consiste à « lever les émonctoires » autrement dit à éliminer les substances toxiques qui inondent et bloquent nos différents organes (le foie, la vésicule biliaire, les poumons, les reins, la peau, l’appareil génito-urinaire, le carrefour ORL) …
On trouve ces techniques naturelles dans mon livre « Pollutions et santé ». Ed. Dangles.
La deuxième technique est plus séduisante et ne recourt à aucun remède, c’est le sauna sec qui commence à connaitre un engouement.
Il n’émet pas de vapeur d’eau mais des rayonnements infra rouges qui diffusent une chaleur douce.
Après quelques séances, on obtient l’élimination des polluants du quotidien (médicaments chimiques, nanoparticules, des métaux lourds, vaccins, perturbateurs endocriniens et l’ensemble des substances toxiques, suivi d’une relaxation profonde et d’une amélioration de la qualité du sommeil.
Sur la serviette on observe les différentes tâches, de couleurs différentes selon les éléments toxiques évacués.
En augmentant rapidement la température corporelle, l’organisme renouvelle les protéines, répare les cellules endommagées et déclenche le rajeunissement des cellules.
Par ailleurs l’augmentation de température du corps renforce les défenses naturelles (mobilisation des lymphocytes et des macrophages).
Ce type de sauna, certifié par les autorités sanitaires, est vivement conseillé pour ceux qui ont souffert du covid-19.
Je vous donne l’adresse d’un institut dans le 15e arrondissement de Paris : Tel : 06 30 28 72 55 / 06 30 20 32 31 (Metro Vaugirard).
En attendant protégez-vous ! Ne soyez pas à l’origine d’un « cluster » (foyer infectieux).
Qui peut prévoir la survenue d’une deuxième vague ? Ce virus est tellement imprévisible…, comme le comportement des humains ! Par ailleurs, d’autres virus peuvent surgir et développer un scénario aussi déroutant.
Vous qui prenez vos vacances, n’oubliez pas d’emporter mon livre « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin. (14€). Vous pouvez aussi l’offrir ! On vous remerciera 2 fois.
Portez-vous bien !
Jean-Pierre Willem
Bonjour
Très intéressant
Comment se procurer vos livres ? Merci
Cordialement
les sauna japonais que l’on achète dans le commerce sont ils efficace et serieux