Chers amis,
« Réussir son vieillissement » est une notion complexe.
La signification en est différente pour chacun d’entre nous à un moment donné de sa vie.
Seul le sujet vieillissant peut être juge et maître de sa destinée.
Il n’y a pas d’opposition entre « plus et mieux vieillir ».
En effet, l’augmentation totale de l’espérance de vie s’est doublée d’une augmentation relativement plus importante de l’espérance de vie sans incapacité.
Il n’y a donc pas à choisir entre qualité et quantité, mais opter pour qualité et quantité (fromage et dessert).
Il est donc devenu important de dépasser la maxime selon laquelle : « Il faut donner de la vie aux années et non pas des années à la vie » trop souvent énoncée de façon perverse pour exclure les personnes âgées du système de soins sur le seul critère de l’âge.
Réussir son vieillissement repose sur trois conditions : le pouvoir, le savoir, le vouloir.
Le pouvoir doit bénéficier de la liberté de recherche, liberté de recourir aux médecines alternatives.
La société doit s’impliquer dans la prévention des maladies relevant du domaine de la santé publique.
À l’échelon individuel, nous devons, au-delà de nos droits, considérer notre « mieux-vieillir » comme un devoir vis-à-vis de nous-mêmes et de la collectivité.
Une attitude responsable, rarement rencontrée, semble-t- il, parmi les jeunes.
Les recherches doivent se poursuivent afin de faire reculer la prévalence de certaines maladies touchant la personne âgée, et plus particulièrement les pathologies neurodégénératives et cardiovasculaires.
Le savoir dépend de l’éducation préventive et ce, d’autant plus qu’elle est précoce et touche les jeunes générations.
« Grandir, c’est vieillir, et vieillir c’est grandir », était, par exemple, le slogan d’une campagne destinée à sensibiliser conjointement enfants et personnes âgées aux problèmes du vieillissement.
L’information doit donc pouvoir se diffuser dans d’autres milieux que celui de la traditionnelle ménagère de cinquante ans.
Il faut donc faire tomber les tabous et les censures imposées par la médecine officielle et par certains responsables médias soumis à la pensée unique, aux lobbies et à Big Pharma.
Le vouloir est collectif et individuel.
Tout commence dès la naissance
Le rôle de la mère est déterminant dès la conception et, évidemment, après le premier cri de l’enfant.
Ce que découvre la science aujourd’hui dépasse toutes les intuitions.
Dans le ventre maternel, le petit d’Homme est sensible.
Dès sa naissance, il est sociable, conscient.
Il voit, il entend, il sent, il reconnaît sa maman ; il tente d’imperceptibles échanges avec ses parents ; il montre un don de l’expression surprenant ; il sait, avant de savoir-faire ; il comprend, avant de pouvoir s’exprimer…
On assiste au prodigieux foisonnement du plus secret des organes : dans la jungle des neurones, des circuits s’organisent, des réseaux se tissent, des friches s’élaguent sous l’influence des stimulations extérieures.
Et de précieuses substances y charrient déjà les premiers messages des sens et de l’intelligence.
C’est là, la mission de la maman : tenir compte de deux éléments essentiels : l’affection et les bons nutriments.
Les 3 piliers pour limiter les maladies graves
La santé se résume en un trépied : la génétique (et l’épigénétique), la nutrition et la gestion du stress.
- La génétique, partie de la biologie sur laquelle nous ne pouvons agir et qui correspond à l’une des quatre constitutions décrites en homéopathie : nous ne pouvons interférer.
- L’alimentation : évitez de manger trop et déséquilibré. Privilégiez les acides gras poly-insaturés (les fameux Oméga-3 et 6), qui assurent les échanges entre les membranes cellulaires.
- L’adaptation au stress : lorsque les agressions nous submergent, l’organisme s’enflamme et sécrète une hormone anti-inflammatoire corticosurrénalienne : le cortisol. Quand les stress sont trop violents ou s’éternisent, le cortisol s’épuise, et le métabolisme déclenche une litanie de pathologies inflammatoires (qui se terminent en « -ite » : tendinite, arthrite, colite, pancréatite…) et qui peuvent évoluer en cancer.
De notre pouvoir d’adaptation aux multiples stress qui nous agressent quotidiennement, dépend le maintien d’une homéostasie (équilibre) physique et psychique, base de toute santé, de toute harmonie et de tout bien-être.
Pourquoi les méthodes simples, peu onéreuses et efficaces, ne sont-elles pas prises en considération par les Pouvoirs Publics ?
La médecine « officielle » est dans une impasse !
Elle n’est plus capable aujourd’hui de répondre simplement à la demande des patients qui réclame d’une part, des traitements plus respectueux de leur terrain et, d’autre part une plus grande écoute.
Cette médecine s’est progressivement fourvoyée en réduisant l’homme à un ensemble d’appareils et de fonctions indépendantes, en opposant en permanence la maladie à la santé, le malade à la cause de son mal et le médicament à l’agent pathogène.
Elle s’est aussi désintéressée sciemment de vastes groupes de patients pour ne se préoccuper que de ceux qui valorisent son savoir et ses techniques.
Quelques médecins ont préféré suivre une autre voie, qui consiste à privilégier une approche globale du patient et de la maladie.
Cela les a amenés à explorer toutes les thérapies avec l’esprit ouvert, à reconnaître la validité de certaines pratiques de santé issues d’autres pays et d’autres cultures, à les affranchir, aussi, du « médicalement- correct » en dénonçant, parfois, ses mensonges et ses dérives.
Antibiotiques : les solutions naturelles pour rétablir les défenses de l’organisme
Pourquoi recourir systématiquement aux antibiotiques – certes efficaces pour certains cas – mais causant des effets secondaires ?
Pourquoi ne pas réserver les antibiotiques dans des cas infectieux urgents et les ménager lors d’épidémies (méningites, staphylococcies…) ?
Je préfère recourir aux huiles essentielles, notamment aux familles biochimiques représentées par les phénols et monoterpénols : les HE sont virucides, bactéricides, fongicides et parasiticides.
Par ailleurs, elles sont « eubiotiques » : elles restaurent le terrain et sont très peu résistantes.
Le cap de la ménopause
L’espérance de vie des femmes européennes dépasse actuellement quatre-vingts ans.
Cela signifie qu’elles passent en moyenne trente ans ménopausées.
Il n’est pas envisageable d’accepter une période aussi longue avec des perturbations hormonales, leur cortège de troubles physiques et psychologiques, ainsi qu’un traitement hormonal substitutif.
La phytothérapie et l’homéopathie permettent de récupérer un équilibre hormonal indispensable et de combattre les troubles liés à cette période.
La vaccination assure-t-elle vraiment l’augmentation de la durée de vie ?
Le principe de la vaccination qui a fait reculer les épidémies est un dogme qu’il est interdit de contester.
Tout a été dit sur la vaccination, excepté ce qui aurait pu la discréditer et la remettre en cause.
Pourtant, elle affaiblit nos défenses immunitaires et peut générer de graves effets secondaires : maladies auto-immunes, handicaps psychomoteurs, maladies neurodégénératives (Alzheimer, sclérose en plaques, maladie de Charcot, Guillain-Barré), cancers, sans oublier les nouvelles maladies génétiques qui peuvent mettre en péril notre descendance.
Rappelons tous les accidents générés par le vaccin de l’hépatite B et que l’on persiste à nier.
Ceux qui sont sur une chaise roulante, et d’autres dans des états alarmants, savent que dans le concept bénéfice-risque, le bénéfice est uniquement pour les laboratoires et le risque pour eux.
Mais le lobby vaccinal s’est toujours employé à désinformer les citoyens sur les dangers des vaccinations et sur leur réelle efficacité, avec la complicité d’experts qui sont à la fois juges et partis.
Néanmoins, des chercheurs de haut niveau, médecins et biologistes indépendants, et dont le seul but est la sauvegarde de l’humanité menacée par des lobbies pharmaceutiques, tirent la sonnette d’alarme et prennent le risque de dénoncer cette imposture scientifique et les scandales financiers qui en découlent.
Ces chercheurs sont bien placés pour parler de ce grave sujet qui les préoccupe, comme il devrait préoccuper tous les parents et tous les candidats à la vaccination, ainsi que tous nos pouvoirs responsables.
Quant à ces pouvoirs publics, conseillés par les « experts » des laboratoires, ils n’ont pas hésité à entreprendre des campagnes mensongères concernant des maladies qui, en Europe, ne touchaient qu’une part infime de la population.
Finalement, nous avons échangé des maladies bénignes contre des maladies bien plus graves que nous sommes incapables de guérir.
Qui a gagné au change, excepté les laboratoires ?
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Aujourd’hui nous sommes au cœur du cyclone ! L’OMS confirme la cinquième vague.
Quelque 1,3 million de morts depuis le début de la pandémie en Europe… et 500 000 supplémentaires dans les quatre mois ?
C’est en tout cas la crainte de l’OMS.
« Le rythme actuel de transmission dans les 53 pays de la région européenne est très préoccupant. Si nous restons sur cette trajectoire, nous pourrions voir un autre demi-million de décès dus à la Covid-19 dans la région d’ici à février », a indiqué hier le directeur de l’OMS Europe, Hans Kluge.
Le rebond de l’épidémie semble généralisé sur le continent, puisque le nombre de cas positifs augmente dans la quasi-totalité des pays.
Il reste à savoir quand va-t-on en sortir ?
Nous vivons et souffrons au milieu des virus que rien n’arrête, sauf des vaccins très facétieux et parfois mortifères.
« Pour l’heure, avec le climat hivernal, on voit la circulation du virus repartir à la hausse, mais grâce à la vaccination massive des Français et l’utilisation du pass sanitaire, ce n’est pas aussi fort que chez nombre de nos voisins, notamment l’Allemagne, et sans impact sanitaire majeur », fait valoir le ministre de la Santé.
« Nous restons extrêmement vigilants, la situation pourrait évoluer ».
Cette époque d’incertitude charrie d’ores et déjà son lot de sujets… épineux au plan politique.
Et fait revenir un mot, en coulisses, au sommet de l’État : « Épée de Damoclès ».
Santé !
Jean-Pierre Willem
Merci pour vos lettres pleines de bon sens.
J’ai eu un lymphome B diffus…la dernière chimio date d’il y a plus de deux mois . J’ai été obligée de me faire vacciner ( la première dose ) avant la première chimio.
Je ne risque pas de faire les deux autres doses…on se demande quel est le but final de toute cette mascarade .
Merci de dire la vérité..et les alternatives !
Bien cordialement
Je ne suis pas et ne me ferai pas vacciner. Dans mon foyer nous vivons a 5, 3 générations. Mon mari m’a fille et ma petite fille 17 ans vaccinés. Ma petite fille de 10 ans et moi, non. Nous vivons tres bien ensemble, pas de guerre entre les uns les autres, il y a eu des cas contacts, un peu d’isolement,l’auto test et on repart. Chaque semaine et depuis des années nous prenons chacun une dosette oscillococcinum, jusqu’à 3 par jour en cas de fièvre, vitamine C et vitamine D. Et on survit.
Comment est-ce que je puisse recevoir le dossier “Détox post-vaccin : reboostez votre immunité et purifiez votre organisme” étant donné que je suis déjà abonné sur Révolution Santé ?
D’autant plus que je suis depuis 9 jours COVID positive avec symptômes…
Au plaisir de vous lire,
Meilleurs voeux pour 2022 et surtout une bonne santé à tous,
Kristine Vlaminckx
Bonjour Docteur Willem,
Merci beaucoup pour les précieux conseils de nutrithérapie que vous nous prodiguez sans parler de vos nombreux livres très utiles (j’en ai acheté quelques uns) que vous avez publiés.
Ceci dit, vous parlez de FROMAGES (que je prends tous les matins) : il me semble que VOUS LES DECONSEILLEZ dans un de vos articles mais POUR QUELLE RAISON impérieuse s’il vous plaît ? Est-ce qu’ils augmenteraient le risque de mauvais cholestérol (LDL) ? Pour ma part , j’en ai surtout du bon (HDL). Merci et cordialement.