DITES STOP AUX TOC !

Chers amis,

Se laver les mains dix fois par jour, vérifier plusieurs fois qu’une porte est bien fermée… Ces troubles obsessionnels sont très fréquents.

Les troubles obsessionnels compulsifs sont des pensées obsessionnelles générant des angoisses qui provoquent des gestes compulsifs répétés comme des rituels envahissants, parfois mettant en danger la vie. Ce sont les anciennes névroses obsessionnelles.

Causes

Soit une altération de certaines parties du cortex cérébral.

Soit une perturbation de la sérotonine (neurotransmetteur au niveau du cerveau). Effectivement on trouve des taux très bas de sérotonine chez ces personnes.

Cette maladie se déclenche chez des gens au système nerveux fragile (angoissés, émotifs, dépressifs) après une série de soucis ou de chocs psychologiques. Les gens spasmophiles, consommant plus de minéraux (comme le calcium, le magnésium) et les fixant très mal, sont plus sujets au TOC.

Symptômes

Idées obsédantes (obsessions), accompagnées d’actes répétitifs (compulsions), très variées :

  • peur de la saleté et des microbes, entraînant le lavage répété des mains, l’interdiction d’entrer à la maison avec les chaussures, le lavage des sièges ou quelqu’un s’est assis, la désinfection de toute la maison, des draps, des nappes et des serviettes ;
  • l’obsession de l’ordre : tout doit rester à sa place, rangé au millimètre près ;
  • la vérification : des portes, des robinets (eau et gaz), de l’électricité ;
  • la peur d’avoir des impulsions : d’être violent (avec un proche), de le tuer même, de se suicider, de voler, de dire des injures sans raison, de casser des objets, de devenir incendiaire ;
  • peurs sexuelles : d’être homosexuel, pédophile ou de ne plus aimer quelqu’un ;
  • l’obsession de collectionner (une série d’objets) ou de tout amasser, ne rien jeter (syndrome de Diogène).

TOCS différents :

  • Anorexie mentale, boulimie, arrachage d’une plaque de cheveux, grattage et arrachage d’une peau (ongles, coudes), rongement des ongles, achats compulsifs, besoin d’éviter de marcher sur les lignes au sol, enfin peur d’avoir un TOC.

Ses petites bizarreries ont fini par devenir sa signature : une fois entré sur le court, il positionne toujours au millimètre près deux bouteilles d’eau face à sa chaise et toujours à gauche !

Puis, avant chaque point, il décolle de la main son short, touche son nez, ses oreilles. Et quand vient le moment de changer de côté, il évite systématiquement de marcher sur les lignes, quitte à sauter.

Quand on l’interroge, Rafael Nadal, le champion espagnol de tennis, explique : « C’est une façon pour moi de rester dans mon match, d’établir l’ordre que je cherche dans ma tête

Simples rituels ou troubles obsessionnels compulsifs ?

Ne pas confondre avec petites manies

Vous ne supportez pas de voir un évier envahi par les assiettes sales en rentrant du travail ? Pour un rendez-vous important, vous enfilez systématiquement ce petit haut rouge à manches courtes qui vous a porté maintes fois chance ? Vous ne pouvez pas dormir tant que les volets ne sont pas bien clos ? Ce n’est pas ce que, dans le jargon médical, on appelle un trouble obsessionnel compulsif. « Des petites manies, des petites obsessions, on en a tous, et c’est normal, elles permettent comme le dit Nadal de mettre de l’ordre dans sa tête. En les faisant, on s’économise, on se met en pilote automatique », précise-t-il. Ces rituels sont au contraire « structurants, positifs ». « Quand Nadal range ses bouteilles, c’est pour se mettre dans une bulle, une sorte de transe hypnotique, afin d’améliorer ses performances.»

Il peut y avoir des périodes de rémission, mais ce n’est souvent que temporaire.

Comment les reconnaître ?

Au cœur du TOC, il y a également un rituel, une manie sauf que celle-ci devient envahissante et va finir par dévorer votre temps. Le plus connu ? Le TOC de lavage.

Par peur des microbes, de la saleté et de contaminer ses proches, une personne va prendre cinq, dix douches par jour ou récurer à fond sa maison quotidiennement durant cinq heures. Lorsqu’un rituel vous phagocyte au moins une heure de votre journée, on parle alors de trouble obsessionnel compulsif, c’est pathologique. Le mécanisme est toujours le même : d’abord surgit une idée intrusive (ai-je bien éteint le fer à repasser ?). Pour apaiser l’angoisse, on effectue le rituel (on fait demi-tour pour vérifier). Mais comme celui-ci n’apaise la personne que durant un court instant on le répète, encore et encore.

Les enfants aussi concernés

Les TOC touchent indifféremment les hommes et les femmes. En général, Ils se diagnostiquent à deux stades de la vie, vers 25 ans chez les adultes et vers 12 ans chez les enfants. Chez les petits, les parents peuvent passer à côté. Un enfant de 7-8 ans qui range méthodiquement ses affaires, les familles aiment. On le félicite. Mais si, à 10 ans, le même en est tous les soirs à aligner des heures durant ses peluches, dans un ordre précis et seulement connu de lui, là, il faut consulter. En général, c’est l’entourage qui craque.

Peut-on en guérir ?

Les guérisons totales et complètes sont très rares et on ne traite pas un TOC il ne disparaîtra jamais tout seul. Certes chez les adultes, il peut y avoir des périodes de rémission mais ce n’est souvent que temporaire. Comme on ignore l’origine des TOC, on traite le symptôme (le rituel) à l’aide de toute une panoplie thérapeutique. Sur le plan médicamenteux, on oublie les anxiolytiques : ils ne marchent pas. Les antidépresseurs, eux, atténuent seulement le trouble.

Les patients sont parfaitement conscients de l’absurdité de la situation dans laquelle ils sont enfermés. Alors, le plus efficace est d’arriver à ce qu’ils maîtrisent leur rituel. Face à une personne qui se lave les mains dix fois par jour, on peut l’encourager à diminuer la cadence ou au contraire passer à vingt lavages par jour. Le patient va finir lui-même par trouver cela ennuyeux et se lasser. Mais le meilleur remède est encore la patience : Les patients sont souvent très créatifs, le médecin doit donc l’être également. Et il faut y aller pas à pas, sinon c’est l’échec.

Les plus fréquents

L’obsession de la propreté

Si vous êtes atteint de ce TOC, votre maison doit être encore plus propre que celle de Bree Van De Kamp, le personnage de la série « Desperate Housewives » ; de même, vous vous lavez sans doute les mains et le corps plusieurs fois par jour pour vous débarrasser des bactéries en tout genre et être sûr d’avoir une hygiène irréprochable. Dans le jargon médical, on appelle ça « l’obsession de la contamination ». Les patients qui en souffrent redoutent les contacts avec les personnes malades. Ils préféraient mourir que de toucher la barre du métro ou le bouton d’ascenseur, quitte à utiliser d’incroyables stratagèmes « comme la langue au lieu du doigt pour commander l’ascenseur ».

La peur de se tromper

C’est le deuxième le plus fréquent. Là, c’est la peur permanente d’avoir oublié de faire quelque chose et/ou de l’avoir mal fait. On se met alors à vérifier et revérifier tout en permanence, par exemple, 5 fois si on a bien verrouillé la porte ou si le fer à repasser, puis le grille-pain ou le four sont bien éteints. Ce TOC peut également se traduire par le fait de relire une dizaine de fois un texte pour vérifier qu’il n’y a pas d’erreur.

L’obsession du malheur

Là, c’est la crainte qu’un malheur se produise ou de porter malheur qui vous étreint. Et pour vous, pas de hasard !

Vous détestez le chiffre 5, les hommes qui portent une moustache. Vous en croisez un justement. Alors vous faites demi-tour pour aller voir s’il y a eu un accident. Et tant que vous ne verrez pas un bon signe, vous resterez dans le doute, ce TOC est très handicapant car avec, on finit par abandonner toute conduite jugée à risque comme conduire une voiture, travailler avec des outils potentiellement dangereux.

La symétrie parfaite

Au boulot, impossible de se mettre à l’ouvrage si votre clavier n’est pas bien parallèle à votre bureau et à votre écran d’ordinateur. Un dossier est posé de travers ? Horreur ! Dans le jargon médical, on appelle cela «l’obsession de la symétrie». Chaque « désordre » apparent, déclenche une angoisse. Ce désir d’ordre parfait peut prendre d’autres formes. Il devient très vite invivable pour la personne, ses collègues, sa famille.

TRAITEMENT

Médecine classique

Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine à forte dose, souvent associés à un neuroleptique. L’effet thérapeutique n’apparaît qu’après trois mois de traitement et n’est que partiel. La psychothérapie aide aussi les malades.

En homéopathie les profils peuvent être regroupés en mode réactionnel commun, que l’on appelle des terrains (ou diathèses). Ceux-ci sont au nombre de 4 : la psore, la sycose, le tuberculinisme et la luèse.

Les signes de TOC sont regroupés dans de la luèse.

Ses 10 signes :

    1. Antécédents personnels : alcool, drogue, syphilis ; antécédents familiaux : alcoolisme, syphilis.
    2. Asymétrie du squelette.
    3. Douleurs des os longs.
    4. Aggravation nocturne de tous les symptômes.
    5. Transpiration qui n’améliore pas.
    6. Ulcération cutanée, digestive ou osseuse.
    7. TOC (troubles obsessionnels compulsifs).
    8. Phobie, peur des microbes.
    9. Insomnie avec agitation.
    10. Hypertension artérielle.

Homéopathie

LUESINUM 30 CH, se lave sans arrêt les mains, peur des microbes, difficulté à se concentrer, perte de la mémoire des noms (amis, rues, villes, livres), craint la nuit (car fatigue, endolorissement, sensation d’être bizarre). Terrain habituel : céphalées occipitales, névralgies faciales, tendance aux ulcérations des muqueuses, aux douleurs osseuses et aux fistules osseuses. À donner si maladie héréditaire ou notion de syphilis dans la famille.

Protocole

  • ARGENTUM NITRICUM 9 ET 30 CH, CALCAREA CARBONICA 9 OU 30 CH, MAGNESIA MURIATICA 9 OU 30 CH, THUYA OCCIDENTALIS 9 OU 30 CH, 5 granules matin et soir pendant plusieurs mois.
  • HYPERICUM PERFORATUM TEINTURE MERE, WEREDA 30 gouttes matin et soir. 1 flacon de 120 ml.

Descriptions

  • ARGENTUM NITRICUM 9 OU 30 CH, phobique (vertige des hauteurs, claustrophobie, peur sur les ponts, dans les tunnels, peur de prendre l’avion), ayant des vertiges en fermant les yeux, des tremblements dans les jambes (qui peuvent se bloquer), ayant des cauchemars (de serpents). Les angoisses se transforment en paniques incontrôlables.

Les réactions phobiques entraînent des TOC (évitement d’un lieu et rituels de protection). Terrain habituel : hyperactivité permanente (commence trois choses à la fois), impatient (arrive une heure en avance de peur d’être en retard, ou finit par arriver en retard car fait trente-six choses avant de partir), contrôle trois fois si la porte est bien fermée et va à la selle une à trois fois, ne peut plus sortir seul (doit être accompagné), parfois ne peut pas dormir seul

  • CALCAREA CARBONICA 9 CH, après des soucis ou un travail intense, anxiété avec peur de l’avenir (de ne pas arriver à gagner sa vie), impression qu’un malheur va survenir, peur de devenir fou, impulsions (à courir subitement dans la rue, à monter ou à descendre un escalier rapidement, même à sauter par la fenêtre), hallucinations, impression de quelqu’un qui marche à côté.
  • MAGNESIA MURIATICA 9 OU 30 CH, notion de spasmophilie, toute pensée qui pénètre l’esprit a tendance à se répéter (obsession), impression de quelqu’un qui lit derrière vous, anxiété (avec agitation et impatience) surtout en fermant les yeux au lit (rejette ses couvertures, va ouvrir la fenêtre pour avoir de l’air frais). Terrain habituel : palpitations au repos.
  • THUYA OCCIDENTALIS 9 OU 30 CH, idées fixes (impression d’avoir un animal vivant dans le ventre, impression de quelqu’un à côté, impression d’être sous l’influence d’une puissance supérieure, que son corps et son âme sont séparés, que tous les membres sont en verre). Terrain habituel : inquiétude à propos de tout, agité, tristesse, hypersensibilité (pleure en écoutant de la musique), sommeil non réparateur, organisme engorgé après infections, antibiotiques, vaccinations ou chimiothérapie, peau grasse, avec boutons (comédons), tendance aux verrues et aux taches brunes, aux grains de beauté, sueurs de mauvaise odeur, aggravation par l’humidité, vers 3h.
  • SEROTONINE 4 CH, pour augmenter la fixation de la sérotonine au niveau du cerveau (effet non prouvé).

Traitements naturels

Calcium, magnésium, phosphore, vitamines B (surtout la B6). Des plantes qui ont les mêmes effets que les benzodiazépines : l’aubépine (crataegus oxyacantha), la passiflore et la valériane.

Le safran

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) se traduisent par des pensées intrusives, récurrentes et indésirables, assorties de comportements répétitifs. 1 à 2 % de la population en souffre, et particulièrement les adolescents (3 %) dont les petites manies ne sont pas forcément comprises par leur entourage. Ils sont traités par des antidépresseurs ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), peu efficaces ni durables.

Des chercheurs iraniens ont étudié les effets de l’extrait de safran. Les résultats sont probants : après huit semaines de traitement (1 gélule par jour dosée à 15 mg de crocine pendant un mois, puis 2 gélules par jour le mois suivant), le nombre de patients présentant un niveau modéré de TOC a chuté de 52 à 12 %.

Les effets secondaires étaient moins nombreux.

Le safran s’est avéré améliorer aussi la mémoire et l’apprentissage.

C’est la crocine, un pigment caroténoïde soluble dans l’eau, qui est bénéfique pour la santé : anti-inflammatoire, antioxydant, neuro- et cardioprotecteur, antitumoral, voire antidépresseur, notamment en cas de bouffées de chaleur liées à la ménopause. Les stigmates de safran sont aussi employés en médecine traditionnelle comme antispasmodique, sédatif, expectorant, stimulant des menstruations.

Une plante au top !

Conseil

Il faut souvent associer le Griffonia (une plante africaine dont les graines sont naturellement riches en L-5-hydroxytryptophane précurseurs direct de la sérotonine), à l’homéopathie, à l’acupuncture et à un soutien psychologique. Il faut aussi régler les conflits psychologiques qui aggravent les TOCS (problèmes de couple, problèmes familiaux, problèmes au travail). L’activité physique, la relaxation, la sophrologie, une vie calme, des relations sexuelles normales et des occupations constructives et motivantes (travail, loisirs, passions) sont aussi bénéfiques. En suivant ces thérapeutiques, quelques-uns des patients ont pu arrêter l’allopathie et vivent à nouveau normalement.

Une anecdote : une femme ne pouvait pas dormir sans ses chaussures. Après quelques mois de traitement elle me dit :

« Docteur, je vais beaucoup mieux. » Je souriais avec satisfaction quand elle ajouta : « D’ailleurs, je ne mets plus qu’une chaussure pour dormir. »

 Complément alimentaire

  • GRIFFONIA L-5-HTP 1 gélule mis après-midi et 1 le soir.
  • SAFRANAL SUBLINGUAL, 1 stick par jour, à faire fondre sous la langue.
  • SAFRANAL TRI-ACTIF, 2 gélules à midi, 1 gélule le soir + verre d’eau
  • DESTRESSIL, 1 gélule aux repas.

 Au labo Copmed, tel : 05 49 28 01 36.

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RETOUR DU CHIKUNGUNYA A LA REUNION
Il y a près de 20 ans, 60% des seniors avaient été touchés. Ayant été sollicité au départ pour donner un traitement naturel, j’ai rédigé un protocole. Les Réunionnais ont attendu 6 mois pour l’appliquer : 3 députés s’étaient opposés à cette prescription. Étant l’ami du maître Vergès, je fis appel à cet avocat bien connu pour qu’il intervienne auprès de son frère, député dans cette île. Passons outre les doxas de Big Pharma, ma prescription a pu être appliquée. Elle se révèle efficace en moins d’une semaine !

Les personnes âgées parmi les plus vulnérables

Le « chik » fait partie, avec la dengue et Zika, des maladies transmises par un moustique lui-même contaminé après avoir piqué une personne déjà porteuse du virus. Il provoque une forte fièvre, des douleurs musculaires, ou encore des nausées. Il peut aussi, chez certaines personnes comme les enfants, les adultes ayant des problèmes de santé, et les seniors, entraîner des formes graves, voire des décès.

Parler du chikungunya à la Réunion nous fait remonter près de vingt ans en arrière.

En 2005-2006, une épidémie historique – et ancrée dans les mémoires locales – a contaminé 300 000 habitants. Soit quasiment 40% de la population, et même près de 60% des personnes âgées d’au moins 60 ans. Le nombre de cas rapportés chaque semaine était monté jusqu’à 45 000, les hôpitaux ont été saturés et plus de 200 personnes sont mortes.

« Les journaux locaux racontaient qu’il n’y avait plus de bois pour faire les cercueils. Le personnel de l’hôpital nous disait que les lits étaient remplis de cas de chikungunya, et que beaucoup de malades avaient des douleurs invalidantes et des séquelles », se rappelle l’épidémiologiste Antoine Flahault.

Tous ces gens infectés à l’époque pourraient-ils attraper une deuxième fois le chikungunya cette année ? « Si les réinfections existent, elles restent cependant rares, car l’immunité acquise après une infection peut durer plusieurs décennies », rassure Yannick Simonin, professeur des universités en virologie. Mais il reste de toute façon, au mini-mum, 60 % des habitants dépourvus de protection.

Sans compter que la population a augmenté et s’est largement renouvelée, avec de nombreux jeunes qui n’ont jamais été exposés au virus.

Avec 6 000 cas en une semaine, l’épidémie actuelle est encore loin du pic historique de l’époque. Mais avec la croissance actuelle, il suffirait de quelques semaines pour atteindre les mêmes valeurs qu’au début de l’année 2006.

Reste que la situation est cette fois différente, pour deux raisons. En premier lieu, nous ne sommes pas à la même période. L’été austral est terminé dans l’hémisphère Sud et l’hiver va progressivement s’installer sur la Réunion. Or les moustiques prolifèrent davantage pendant la saison estivale. « Cela pourrait freiner la progression de l’épidémie, et encore. Car, en vingt ans, le changement climatique est passé par là », nuance Antoine Flahault, plutôt sceptique.

Campagne de vaccination

Autre nouveauté cette année : il existe désormais un vaccin ! Une campagne d’immunisation des personnes âgées d’au moins 65 ans et ayant des comorbidités a débuté.

Ma prescription

En premier lieu il faut stimuler les défenses naturelles.

STIMU+, 2 fois 2 gélules pendant un mois (Labo Phyt-Inov ; tel : 00 41 32 466 89 14).

Ce complément alimentaire bloque toute infection bactérienne et virale.

Par voie orale

LYSOVIR, prendre 2 gélules avant les trois repas pendant 15 jours. Puis 2 fois 2 gélules pendant 15 jours. (Lalo Phyt-Inov).

  1. Huiles essentielles

Par voie cutanée

  • HE Camomille noble ou romaine       3 ml
  • HE Gaulthérie couchée                         3 ml
  • HE Lavande aspic                                    3 ml
  • HE Eucalyptus citronné                        2 ml
  • HE Ravintsara                                          2 ml
  • HE Menthe poivrée                                3 ml
  • HV Arnica                                    q.s.p     30 ml

Appliquer 10 gouttes du mélange sur les zones douloureuses, 4 fois par jour jusqu’à guérison.

  1. Homéopathie
  • EUPATORIUM PERFOLIATUM 9CH, 2 tubes : prendre 3 granules 2 fois par jour (courbatures, céphalées…).
  • GELSEMIUM 5CH (abattu physiquement et psychiquement).
  • RHUS TOX 5CH (courbatures moins douloureuses quand on bouge).
  • ARNICA 5CH (muscles douloureux)

3 granules de chaque 3 fois par jour.

Voir mon livre « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Nouvelle édition. Ed. Dauphin. Covid long, Chikungunya, grippe, …

Portez-vous bien !

Jean-Pierre Willem

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