Chers amis,
Le 5 mars, les chrétiens débutent le carême, 40 jours de préparation à la célébration de Pâques, fête annuelle de l’Église chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ.
Origine du Carême
Un jeûne de quarante jours existait déjà en Égypte à la fin du IIIe siècle, commémorant les quarante jours que Jésus avait passés au désert avant de débuter son ministère public. Au IVe siècle, c’est l’accompagnement des catéchumènes vers le baptême qui fait éclore la pratique du Carême. Il est explicitement mentionné pour la première fois au concile de Nicée (325).
Le Carême débutait le 6e dimanche avant Pâques. Au VIe siècle, la date de son démarrage est avancée au mercredi précédent, afin d’obtenir quarante jours pleins de jeûne, le dimanche n’y étant pas soumis.
L’imposition des cendres, qui n’est plus réservée aux seuls pénitents mais à tous les fidèles, est mentionnée à la fin du Xe siècle par le moine bénédictin Aelfric, abbé d’Eynsham (Angleterre) ; l’usage est étendu à toute la chrétienté par le pape Urbain II, au concile de Bénévent en 1091.
Plus fondamentalement le Carême plonge ses racines dans la tradition hébraïque. Se couvrir de cendres était une pratique de repentance qui marquait l’humilité vis-à-vis de Dieu, en rappelant la poussière à partir de laquelle Adam a été formé.
Le chiffre 40 revient plus de 90 fois dans la Bible. Il est à la fois le symbole de l’épreuve et celui de l’intimité avec Dieu. Il renvoie aux quarante jours que Moïse et le prophète Elie ont passés sur la montagne à la rencontre de Dieu ; aux quarante jours du déluge qui s’est abattu sur la terre tandis que Noé était à l’abri, avec sa famille, dans son arche ; aux quarante ans de la marche du peuple hébreu dans le désert, en quête de la Terre promise. Ce chiffre a directement inspiré le mot Carême, qui vient du latin quadragesima et signifie quarantième.
Le déroulement
«Convertissez-vous et croyez à l’Évangile»; «Souviens-toi que tu es poussière, et que tu retourneras en poussière.» C’est par l’une de ces phrases que s’ouvrent les quarante jours du Carême. Elles seront prononcées ce 5 mars au cours de la célébration du mercredi des Cendres par le prêtre qui trace un signe de croix sur le front des fidèles à partir des cendres des rameaux de l’année précédente.
Le Carême s’étend sur un mois et demi et s’achève le Jeudi saint, jour de commémoration du dernier repas du Christ, ouvrant le triduum pascal : les trois jours qui marquent la passion du Christ et sa résurrection à Pâques, le 20 avril. Le Carême est encadré par deux grandes processions:celle de la pénitence pour recevoir les cendres, qui invite à rechercher la force, l’amour et la joie de Dieu ; et la procession de fin de Carême, derrière la lumière du cierge pascal allumé lors de la vigile pascale, qui nous appelle à marcher à sa suite.
Durant cette période, l’assemblée des fidèles prie avec et pour les catéchumènes, qui effectuent les ultimes étapes, appelés scrutins (au sens de se laisser scruter par Dieu), vers leur baptême à Pâques.
Les piliers de Carême
Au départ, le Carême s’est structuré autour du jeûne. Au IVe siècle, saint Augustin insiste pour y adjoindre la prière et l’aumône, ainsi que le pardon des offenses. L’intensité de la pratique du jeûne a varié au cours des siècles et s’est allégée après la Seconde Guerre mondiale. Le jeûne (un repas frugal dans la journée) est prescrit par l’Eglise le mercredi des Cendres et le Vendredi saint ; et l’abstinence de viande le mercredi des Cendres, les vendredis de Carême et le Vendredi saint.
Aujourd’hui, un certain nombre de chrétiens cherchent à revenir à des pratiques plus ascétiques : supprimer davantage d’aliments et de boissons, faire oraison et prier le chapelet tous les jours, consacrer une heure par semaine aux autres (maraude, appel à une personne isolée…), dormir par terre…
À chacun de mettre le curseur où il le veut. Il ne s’agit pas d’accomplir un exploit mais d’expérimenter un vide, un manque pour laisser davantage de place à la relation à l’autre et à Dieu. Le Carême nous aide à renouveler notre triple vocation baptismale qui plonge ses racines dans la tradition biblique : celle du prêtre, par la prière ; celle du prophète qui jeûne pour se nourrir de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ; celle du roi, qui prend soin – par l’aumône – des pauvres et de ceux qui lui sont confiés.
L’enjeu spirituel du Carême
Avec vigueur, le pape François a souvent rappelé l’exigence du Carême. Il est «le temps favorable pour revenir à l’essentiel, pour nous dépouiller de ce qui nous encombre, pour nous réconcilier avec Dieu, pour rallumer le feu de l’Esprit Saint qui demeure caché dans les cendres de notre fragile humanité».
C’est une démarche décapante qui mène à davantage d’authenticité. « Revenir au cœur signifie revenir à notre vrai moi et le présenter tel qu’il est, nu et dépouillé, devant Dieu, insiste le pape. Cela signifie regarder en nous-mêmes et prendre conscience de ce que nous sommes vraiment, en nous débarrassant des masques que nous portons souvent, en ralentissant la course de nos frénésies, en étreignant notre vie et notre vérité. »
C’est enfin une précieuse occasion de « vérifier les chemins que nous sommes en train de parcourir, pour retrouver la voie qui nous ramène à la maison, pour redécouvrir le lien fondamental avec Dieu, de qui dépend toute chose…»
La foi se résume en trois actes
Extrait de l’homélie de saint Pierre Chrysologue. Office des lectures du mardi de la troisième semaine de Carême.
« Il y a trois actes, mes frères, trois actes en lesquels la foi se tient, la piété consiste, la vertu se maintient: la prière, le jeûne, la miséricorde. La prière frappe à la porte, le jeûne obtient, la miséricorde reçoit. Prière, miséricorde, jeûne, les trois ne font qu’un et se donnent mutuellement la vie. En effet, le jeûne est l’âme de la prière, la miséricorde est la vie du jeûne. Que personne ne les divise : les trois ne peuvent se séparer. Celui qui en pratique seulement un ou deux, celui-là n’a rien. Donc, celui qui prie doit jeûner ; celui qui jeûne doit avoir pitié ; qu’il écoute l’homme qui demande, et qui en demandant souhaite être écouté ; il se fait entendre de Dieu, celui qui ne refuse pas d’entendre lorsqu’on le supplie. »
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LES BIENFAITS DU JEUNE
Le mot jeûne (du latin jejunium, de jejunus, vide) s’applique à toute abstinence d’aliment ; que celle-ci soit consentie lors d’une pratique religieuse ou décidée par mesure d’hygiène et dans un dessein d’équilibre organique. Du point de vue de la santé, toutes les cultures témoignent que la restriction alimentaire et/ou le jeûne, sont (quasiment partout) imposés dans certains cas de maladie ; seule la médecine occidentale résiste encore. Elle peine à comprendre que jeûner est l’occasion de nettoyer son corps et son esprit.
La pratique du jeûne et/ou de l’abstinence alimentaire remonte à la nuit des temps. On la connaît d’aussi loin que viennent les êtres vivants, puisque c’est une pratique naturelle chez les animaux. Le jeûne réactive les réflexes ataviques ancrés dans la mémoire du corps. La capacité de jeûner nous est héritée de l’évolution et serait inscrite dans notre code génétique.
Jusqu’à nos jours, le jeûne ou la restriction à des fins spirituelles fut de beaucoup le plus important, loi religieuse chez quasiment tous les peuples de l’Antiquité. Que ce soit par l’observation de certaines restrictions alimentaires, d’habitudes de tempérances ou de jeûne complet, la pratique exprimait une vertu sacrée.
Dans notre société d’abondance, le jeûne apparaît souvent comme un remède miracle : nous mangeons trop, il nous faut expier.
Des preuves scientifiques
Ce sont des médecins russes qui, les premiers, ont étudié pendant plus de 80 ans les mécanismes du jeûne sur des humains. Ces médecins géraient la santé des bagnards russes déplacés en Sibérie. Il n’était pas question de leur donner une nourriture complète, c’était la restriction alimentaire, autrement dit, ils jeunaient et guérissaient de leurs pathologies. Les travaux de ces médecins ont interpellé leurs confrères à Moscou mais ils n’ont jamais été traduits et c’est Otto Buchinger, médecin allemand, qui a popularisé la notion de jeûne thérapeutique au début du XXe siècle.
En France, le docteur André Gernez s’est illustré en guérissant des cancers par réduction alimentaire. L’expérimentation fut effectuée en 1970 par le professeur Truhaut, directeur du CNRS : 92 % de rats atteints d’hépatomes (cancers du foie) furent guéris. Il n’était pas question de répandre l’information. Toutefois, les 3 grands cancérologues insistaient pour appliquer cette stratégie. Le silence continue encore aujourd’hui.
Dans mon livre « Le secret des peuples sans cancer », aux éditions Dauphin, j’évoque la stratégie du docteur André Gernez. Je traite 55 cancers.
Plus récemment, Valter Longo, biologiste américain, a publié de nombreuses études faites sur le rat. Il démontre notamment qu’un jeûne court, de 24 heures ou de 48 heures, a un effet significatif sur le traitement du cancer. Bien entendu, il ne s’agit pas de se contenter de limiter sa nourriture pour guérir, mais il a remarqué qu’au cours d’un jeûne, les cellules saines se protègent, c’est-à-dire qu’elles diminuent leur besoin en énergie. Au contraire, les cellules cancéreuses n’ont pas ce réflexe et continuent de dépenser autant d’énergie qu’en temps normal, tout en cherchant un apport énergétique.
Durant cette phase, un tiers des cellules malades meurent.
Puis, lorsque le patient subit une chimiothérapie, ce sont les cellules cancéreuses qui absorbent le traitement les premières, le jeûne pourrait donc être un allié de choix pour améliorer l’impact de la chimiothérapie. Cela fonctionne aussi chez l’humain.
Un jeûne total
Évidemment, il s’agit d’un jeûne total, à l’eau pure (et peu minéralisée), qui consiste donc seulement à boire et à ne pas s’alimenter pendant tout le temps du jeûne, tout en étant surveillé médicalement.
Le corps puise alors sur ses réserves en sucres, présentes surtout dans le foie et un peu dans les muscles. Elles sont épuisées en deux jours. Ensuite, le corps prend sur ses réserves en graisses, lesquelles doivent être transformées en corps cétoniques pour parvenir au système nerveux central, qui a besoin d’énergie pour fonctionner. Ainsi, le 4e jour peut être difficile à passer du fait de l’état d’acidocétose, responsable de faiblesse, de nausées et de migraines. Il faut surmonter ce cap délicat et avoir le courage et la persévérance de continuer.
Mise en place des processus métaboliques du jeûne
Le jeûne provoque un état de stress qui est une réaction d’adaptation à un changement de l’environnement, ici la privation de nourriture et qui relance les mécanismes d’autorégulation comme la sanogénèse, ou autodétoxification de l’organisme, qui d’habitude restent passifs à cause de notre mode de vie.
L’organisme déclenche l’alerte, ce qui provoque un bouleversement hormonal et neuroendocrinien. La réponse va être, en premier, la mobilisation des réserves énergétiques de l’organisme.
La production des catécholamines, de l’adrénaline, de la noradrénaline, de la sérotonine, de la dopamine est fortement augmentée. Cette production prépare le corps à l’activité physique et psychologique.
La leptine, hormone de la faim et de la régulation du poids, joue un rôle clé dans la régulation des dépenses énergétiques et le contrôle de la satiété. Elle agit sur des récepteurs de l’hypothalamus ou elle inhibe l’appétit. Elle bloque la sécrétion d’insuline et réduit la néoglucogenèse. Ainsi, de nombreux paramètres sanguins s’améliorent (glycémie, cholestérol, triglycérides, taux d’insuline).
La diminution de sensation de faim est confirmée par ceux qui ont pratiqué le jeûne au-delà de plusieurs jours. Des chats obèses ou « enrobés », très portés sur la nourriture et même gloutons, mis à la diète plusieurs jours, arrêtent de réclamer de la nourriture après deux ou trois jours de jeûne (observations personnelles).
Le cortisol
Pendant le jeûne sa sécrétion augmente. Il agit sur le métabolisme glucidique en favorisant, dans un premier temps, la glycogenèse puis la néoglucogenèse. Le cortisol agit ensuite sur la stimulation de la lipolyse (fonte de graisse).
Ce sont ces propriétés du cortisol qui expliquent en grande partie les résultats obtenus chez les jeûneurs atteints de maladies articulaires inflammatoires ou sur des maladies cutanées.
La sérotonine
Enfin, le jeûne augmente la concentration sanguine en sérotonine, «l’hormone du bonheur et de la satiété». Tout comme les catécholamines, elle joue un double rôle d’hormone et de neurotransmetteur du système nerveux central. Elle est impliquée dans la régulation du cycle circadien et dans divers désordres psychiatriques tels le stress, l’anxiété, les phobies et la dépression.
La sérotonine est impliquée dans la régulation de fonctions telles que la thermorégulation, les comportements alimentaires et sexuels, le cycle de veille sommeil, la douleur, l’anxiété et le contrôle moteur.
Un bouleversement métabolique
L’augmentation de la sécrétion de sérotonine ainsi que celles des catécholamines expliquent les résultats obtenus par les médecins russes dans le traitement de bon nombre de maladies mentales.
Les mécanismes adaptatifs et universels mobilisés pendant le jeûne vont permettre à l’organisme de survivre relativement longtemps en préservant sa masse musculaire tout en stimulant ses capacités psychiques.
Les hormones mobilisées lors de cet état physiologique vont permettre une détoxification de l’organisme et, parfois, de guérir des pathologies chroniques résistantes aux traitements exclusivement médicamenteux.
Pour l’obésité, il a été constaté, qu’après une diète, le comportement alimentaire des patients était très positivement modifié et que la reprise de l’alimentation ne s’accompagnait pas, dans la plupart des cas, d’une reprise de poids.
Désintoxication
Le jeûne qui fait appel aux réserves transforme, voire purifie, nos tissus. Le travail de détoxication entraîne divers symptômes peu agréables, particulièrement importants les trois premiers jours : haleine fétide, langue chargée, fatigue, maux de tête, voire nausées, vomissements. En fonction des surcharges en toxines de l’organisme, la langue restera blanche plus ou moins longtemps, se nettoyant graduellement. Elle peut aussi rester blanche tout au long du jeûne. Quant à l’haleine, elle demeure fétide pendant la plus grande partie du jeûne, puis le devient moins à mesure que la purification progresse, elle est douce et propre lorsque la faim revient.
Il est vrai que les résultats souvent spectaculaires des jeûnes modifiés ou des monodiètes sont en bonne partie liés à la suppression d’un certain nombre d’aliments consommés sans modération : viande, sucres rapides ou « aliments morts » comme les conserves qui génèrent plus de calories ou de toxines que d’éléments vitaux. Un des avantages majeurs du jeûne est la mise au repos des organes digestifs qui permet leur régénération.
Les effets psychologiques
Les effets physiques et psychologiques du jeûne sont bien sûr intimement mêlés. Au départ, certains ont peur de mourir s’ils ne mangent pas pendant trois jours. Puis au cours du jeûne, la majorité des gens sentent survenir une certaine euphorie, liée à la sécrétion importante d’endorphines, en particulier la sérotonine.
Le jeûne est un amplificateur de bonheur ou de conflit, et entraîne une sorte de dépression, ce qui explique que certains le vivent dans la douleur, d’autres dans la joie. On se laisse plus facilement aller à pleurer pour éliminer les émotions négatives. À travers le jeûne, que ce soit par le retour sur soi, par une plus grande disponibilité à soi-même ou par les rêves, les gens s’ouvrent à des niveaux refoulés, ils découvrent parfois des aspirations négligées dans leur vie.
Rares contre-indications au jeûne
Dans les cas d’insuffisances cardiaques et respiratoires, de paresse rénale, de maladies, de carences ou de maigreurs extrêmes, la pratique du jeûne nécessite beaucoup plus de prudence. Il ne doit être entrepris que sous surveillance compétente.
Les spécialistes du jeûne savent que cette thérapeutique de choc a ses contre-indications :
- La dépression (car l’abstention de nourriture peut engendrer elle-même des épisodes dépressifs).
- Certaines obésités dues à la cortisone et qui relèvent strictement d’un traitement médical.
- L’anorexie à cause de la dénutrition qu’elle provoque.
- Toutes les maladies infectieuses graves en période aigue (cancers, sida…) toujours à cause de la dénutrition qu’elles suscitent. Les animaux ne mangent plus dès lors qu’ils ont une infection !
- Le grand âge, mais pas systématiquement.
- Les pathologies cardiaques sont un sujet controversé : certains en font des indications, d’autres des contre-indications.
Les essais scientifiques
Si aussi peu d’études sont menées sur le sujet, c’est qu’elles n’attirent pas le financement. En effet, ce sont le plus souvent les industries pharmaceutiques qui subventionnent les recherches en santé. Elles espèrent en échange pouvoir déposer un brevet dont les revenus les dédommagent de la somme engagée.
Dans le cas du jeûne, prouver ses bienfaits ne rapporterait aucun brevet, donc pas de retour sur investissement.
En Allemagne, les cliniques privées proposant un accompagnement au jeûne se multiplient. Elles se vantent en particulier de pouvoir guérir des maladies chroniques telles que l’asthme, le diabète et les allergies ou bien juste d’améliorer notre bien-être. Contre toute attente, alors que dans l’imaginaire collectif, l’absence de nourriture se doit de nous rendre amorphe et irritable, c’est le contraire qui est observé.
Après quelques jours sans nourriture, les patients seraient en meilleure forme, plus dynamiques et plus joyeux. Toutefois, les cures proposées par les établissements privés sont particulièrement onéreuses. Pas sûr que tout le monde ait envie de débourser une fortune pour recevoir en contrepartie un bouillon de légumes le soir !

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Vous comprenez maintenant pourquoi ceux qui redoutent le cancer et autres pathologies s’orientent vers la réduction alimentaire et profitent du Carême.
Je rappelle que le cancer se nourrit du sucre ; pour contrer cette attirance, on recourt à l’acidose, ce qui est confirmé par le bio-électromètre de Vincent, méthode appliquée en Allemagne. C’est ainsi que nombre de Français atteints de cancer se rendent en Germanie.
Par ailleurs le cancer se développe en anaérobiose, autrement dit, il progresse en l’absence d’oxygène. Il reste à faire des séances d’oxygénation (bol d’air de Jacquier).
Il vous reste à recourir à
- Une alimentation « haute vitalité » de qualité biologique le plus souvent crue (vapeur, à l’étouffée).
- Une alimentation riche en enzymes.
- Une eau peu minéralisée (les minéraux bloquent les reins).
- Une alimentation riche en oméga 3, les poissons recèlent des omégas EPA et DHA qui assurent la fluidité cellulaire et les communications intercellulaires.
- Une activité physique régulière.
- Une joie de vivre.
Vous pouvez retrouver des explications plus exhaustives dans mon livre « Le jeûne, une méthode naturelle de santé et de longévité », aux éditions Dauphin.
Dès lors, vous comprenez pourquoi les 3 religions monothéistes recommandent le jeûne, qui est différemment appliqué, avec des résultats différents !
L’adage d’Hippocrate « que ton aliment soit ton médicament » est plus que jamais d’actualité, car presque tous les aliments sont aujourd’hui dénaturés et dévitalisés.
Six cancers progressent chez les jeunes (15-39 ans), l’obésité pourrait être un facteur de l’augmentation des cancers du système digestif et du sein.
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Jean-Pierre Willem