Chers abonnés,
Selon l’OMS, 80 % des maladies chroniques peuvent être causées, directement ou indirectement, par la pollution environnementale.
Ce chiffre est exorbitant.
Parmi les polluants les plus dangereux se trouvent d’une part les fameux métaux lourds (tels que l’aluminium, le mercure, le cadmium, le plomb, l’arsenic et le nickel), et d’autre part les xénobiotiques (tels les médicaments et les vaccins qui sont les plus iatrogènes).
L’accumulation de substances toxiques dans l’organisme est influencée par l’exposition de plus en plus fréquente à ces composés « malsains ».
Cela entraîne en cascade de nombreuses anomalies dans le métabolisme général et par voie de conséquence aussi, sur les anticorps de notre système immunitaire.
Les molécules chimiques étrangères à l’organisme que l’on qualifie de xénobiotiques, forment un cocktail polluant permanent et inévitable.
Certaines d’entre elles sont très difficiles à éliminer à cause de leur caractère lipophile. Ces molécules se regroupent sous l’acronyme «POP» pour Polluants Organiques Persistants.
Ces polluants qui s’accumulent dans l’organisme créent de l’inflammation et perturbe l’homéostasie de systèmes essentiels comme le système endocrinien.
Ils sont un facteur important de l’explosion des maladies chroniques comme le diabète de type II, l’obésité, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la thyroïde, l’infertilité galopante, etc…
Il est aujourd’hui indispensable de soutenir l’ensemble des mécanismes qui participent à la détoxification de l’organisme, car, trop sollicité, celui-ci a de plus en plus de mal à faire face à cette invasion de polluants.
Parmi les polluants notoires : l’aluminium des vaccins.
Le rôle de ce métal présent dans les vaccins est de booster l’immunité pour atteindre 70 à 80%.
En tant que corps étranger, il attire les cellules « éboueurs » de l’organisme.
C’est la réaction primaire destinée à multiplier les effets du vaccin.
Un début à l’aveuglette…
Au départ, on a procédé aux vaccinations sans connaître les mécanismes des microbes, des bactéries, des virus et encore moins du système immunitaire.
Malgré cette absence de connaissances, la vaccinations était très vite généralisée dans la pratique médicale.
Convaincus que la vaccination était une panacée, les tenants de cette pratique l’ont imposée dans le monde entier sous forme de campagnes vaccinales, de calendriers vaccinaux, de programmes élargis de vaccinations, de lois d’obligation vaccinale, etc.
8 idées à déconstruire sur le vaccin
La vaccination est ainsi devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on doit être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe.
Solution de facilité, approche sécurisante, la vaccination offre une alternative commode que nulle autre pratique médicale ne possède.
Certes, sa mise au point nécessite un investissement chiffrable important, mais qui est vite amorti par des bénéfices alléchants, lesquels poussent à une surenchère commerciale incessante.
L’intérêt majeur du vaccin est de bloquer -en partie seulement- l’invasion virale.
Analysons le revers de la médaille : des risques considérables pour un bénéfice illusoire.
- Les désordres immunitaires
Les vaccinations empêchent le système immunitaire de fonctionner normalement.
Celui-ci, surchargé, finit par faire n’importe quoi, ne comprenant plus les messages qu’il reçoit.
Il peut notamment fonctionner à l’envers et générer des maladies auto-immunes, maladies qui étaient extrêmement rares avant l’ère de la vaccination.
Leur augmentation, aujourd’hui, est considérable.
On substitue à notre système de défense des artifices et une pseudo-protection moins efficace et non durable (il faut faire des rappels).
On oblige l’enfant à faire plusieurs maladies à la fois (avec les vaccins multiples) alors que, naturellement, le corps ne fait jamais plusieurs maladies en même temps.
- Les maladies virales et les maladies chroniques
Les vaccinations nous aident à changer de maladie.
Les vaccins à virus (variole, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite A et B, fièvre jaune, rage, varicelle, polio, grippe) nous ont entraînés vers l’émergence de maladies virales aujourd’hui innombrables alors que, auparavant, les maladies bactériennes prédominaient. Celles-ci étaient plus spectaculaires (forte fièvre, éruption, etc.), mais on en sortait vainqueur la plupart du temps, à moins d’une vulnérabilité particulière.
Les maladies virales sont très difficiles à soigner et prennent des formes sournoises difficiles à diagnostiquer.
Elles accentuent la dégradation du terrain.
Le plus grave, c’est l’installation dans les populations de maladies chroniques dégénératives de pronostic grave (maladies auto-immunes, myélopathie, Guillain-Barré, Sclérose en plaques, cancer…) à cause du pouvoir transformant des virus vaccinaux et de l’effondrement du système immunitaire.
- Les maladies génétiques
Les virus vaccinaux, en pénétrant dans le génome des cellules, peuvent engendrer des altérations chromosomiques ou d’autres effets plus subtils qui peuvent être hérités par les générations suivantes.
Ainsi, les petits-enfants sont susceptibles d’hériter de leurs grands-parents d’une maladie dite génétique, appelée ainsi parce qu’on ne sait pas expliquer son origine.
Aujourd’hui, une soixantaine de maladies orphelines sont répertoriées et la liste s’allongera.
Les atteintes des vaccinations sont bien loin de se limiter à celles qui se produisent dans les heures et les jours qui suivent l’inoculation.
Il faut se préoccuper des effets sur le long terme, qui sont hélas, comme on le voit, souvent irréversibles.
- La dégradation des fonctions du cerveau
La plupart des virus ont une affinité pour le système nerveux et vont s’y loger directement, à l’abri des anticorps.
Et c’est là qu’ils font le plus de dégâts (encéphalite, méningite, atteinte de la myéline, tumeur…).
Les bactéries et les toxines, qui sont infectées brutalement dans l’organisme, ne sont pas en reste ; elles suivent le même tracé.
La vaccination crée un état de choc entraînant irrémédiablement des lésions et des altérations cognitives ainsi que des troubles caractériels dont la société entière paie les conséquences.
Combien d’enfants handicapés après vaccination se retrouvent en institution ?
Combien de familles sont anéanties par le handicap d’un ou de plusieurs enfants ?
Une chape de plomb recouvre ce problème, c’est la loi du silence qui règne.
- La facilitation du franchissement de la barrière des espèces
Depuis le premier vaccin (antivariolique), des cellules animales ont été introduites dans le corps humain, créant une passerelle entre l’homme et l’animal.
Certes, des microorganismes cohabitent chez plusieurs espèces et peuvent parfois provoquer des zoonoses (maladies transmises de l’animal à l’homme).
Mais avec les vaccinations, ce n’est pas le même processus : l’homme « s’animalise ».
Problème suffisamment inquiétant pour que l’Académie des sciences et l’Académie de médecine se soient penchées sur le lien entre maladies humaines et maladies animales à l’Institut de France en juin 2004.
- La fausse sécurité
En laissant croire que vaccination rime avec protection, que se vacciner, les gens pensent qu’ils peuvent tout faire.
La vaccination leur enlève la notion de responsabilité et les pousse vers des conduites à risque.
On aboutit exactement à l’inverse de ce que devrait être une vraie prévention.
Résultat, les maladies sexuellement transmissibles sont en expansion avec réapparition de la syphilis. Et ce n’est qu’un exemple.
L’homme moderne ne se rend pas compte du chantage : croire à la vaccination, sinon c’est l’enfer.
La vaccination balaie la peur et installe la foi, voire le fanatisme dans ses formes extrêmes.
Pourtant, il ne s’agit pas de religion, mais de médecine.
On aboutit exactement à l’inverse de ce que devrait être une vraie science.
Résultat, on continue à nier les pathologies consécutives au vaccin contre l’hépatite B, pourtant patentes, parce que l’on est dans la croyance.
- La dépendance
La vaccinologie est la plus extraordinaire machine à conditionner les individus.
Nous sommes devenus complètement dépendants du système.
Notre corps a été obligé de recevoir des injections répétées de produits non naturels et il est devenu permissif à tout.
Des cellules animales, des métaux lourds, des toxiques avérés, de l’ADN trafiqué, etc., tout ce qui se trouve dans un vaccin ouvre la porte à l’acceptation des autres cocktails nocifs.
- La désinformation
Depuis Pasteur, le mensonge a fait son entrée officielle en science. Il n’y a pas de domaine où le mensonge soit plus flagrant qu’en vaccinologie.
Le jour où Pasteur a approuvé l’imposture de son complice Brouardel, nous avons été embarqués dans un système de supercherie, de faux-semblants, de tromperie, de fraude, d’improbité sans nous en rendre compte.
Après la mort d’un enfant des suites de la vaccination pratiquée par Pasteur, le professeur Brouardel, son ami, porte un faux témoignage devant la justice pour dissimuler la vérité.
Et cela dure depuis plus d’un siècle.
Tous les acteurs du scénario vaccinal sont englués dans la désinformation, dont ils sont eux-mêmes victimes, tout autant que le public qu’ils maintiennent volontairement dans l’ignorance.
Nier les accidents vaccinaux, ne publier que ce qui est favorable aux vaccinations, biaiser les résultats des études, être juge et partie dans les questions litigieuses, falsifier les rapports d’expertise, faire du chantage pour que règne la loi du silence, tel est le tableau que l’on peut dresser lorsque l’on évoque le domaine de la vaccination.
Avouez que cela fait tache sur la haute idée que l’on se faisait de la science !
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Nombreux sont les médecins qui ont constaté que ce sont les enfants non vaccinés qui se portent le mieux, surtout parmi les populations bien nourries et qui vivent dans de bonnes conditions d’hygiène.
Dans le cas de la grippe saisonnière, le calendrier vaccinal préconise même la vaccination des nourrissons de quelques jours à 6 mois, lorsqu’ils présentent des facteurs de risque (notamment chez les prématurés).
Quand on sait qu’un nourrisson a un système immunitaire immature, a-t-on bien réfléchi aux conséquences d’une telle initiative ravageuse ?
Pour l’ « après-vaccin » !
Voici un protocole en 3 étapes pour ceux et celles qui se seraient fait vacciner mais craindraient les effets secondaires du vaccin et/ou de la présence d’aluminium.
- La chélation
La chlorella, le glutathion ou la N-acétyle-cystéine, le malate de magnésium, l’acide alpha-lipoïque ou encore les acides aminés soufrés aident à la chélation des métaux lourds.
- La détoxification
Parce que l’essentiel du processus de détoxification se passe dans le foie, il est indispensable de soutenir et de protéger la fonction hépatique, les membranes des hépatocytes et leur capacité à produire des antioxydants endogènes.
- SILYDIUM (HE Carotte cultivée, Chardon-marie), 2 fois 2 gélules, Labo Phyt-Inov.
L’étape de détoxification hépatique comprend 3 phases :
*- La phase de biotransformation : permet de transformer les substances toxiques par oxydation en métabolites intermédiaires. Cette phase 1 fait intervenir les enzymes cytochromes P450 qui neutralisent les substances étrangères.
*- La phase de conjugaison (ou inactivation) : permet d’inactiver les métabolites intermédiaires toxiques et les rendre soluble dans l’eau afin de pouvoir les éliminer plus facilement.
Les actifs qui agissent à ce niveau sont le brocoli, le glutathion ou la N-acétyle-cystéine, la taurine, la méthionine, le zinc, le sélénium et des vitamines du groupe B.
*- La phase d’élimination : permet d’évacuer les toxines inactivées et solubles par les reins ou par les intestins via la vésicule biliaire. Les actifs qui agissent à ce niveau sont le chardon-Marie, le bouleau, le potassium et le pissenlit.
Une fois les toxines transformées, rendues hydrophiles, elles poursuivent leur chemin en vue d’être éliminées soit par la voie rénale, soit par la voie biliaire : il est essentiel de les stimuler si l’on veut se débarrasser efficacement des xénobiotiques !
- Protection et renforcement du terrain
Une fois débarrassé des substances toxiques (métaux lourds et xénobiotiques), il convient de rétablir le bon fonctionnement du métabolisme afin de renforcer le terrain (immunité, capacité antioxydante, vitalité, système nerveux…) grâce à des minéraux comme le zinc et le magnésium et des vitamines du groupe B.
On peut trouver ces différents compléments alimentaires dans 2 produits :
DETOXIK et DETOXINAT au Labo Copmed : 05 49 28 01 36.
Deux approches en plus
Dans toutes mes missions humanitaires relatives à des épidémies (Ebola, Chikungunya, Dengue, SRAS, MERS…) j’ai emporté du chlorure de magnésium en sachets.
Le chlorure de magnésium :
- Immunostimulant, il aide à la formation des anticorps ;
- Anti-infectieux, il stimule la phagocytose ;
- Restaurateur de terrain, il bloque la prolifération des germes ;
- Régulateur nerveux, il normalise l’excitabilité des nerfs ;
- Stimulant général de l’organisme, il augmente la résistance et l’activité des cellules.
- Restaure le transit (constipation)
- Sédatif naturel et antidépresseur ;
Mettre 1 sachet ou 2 dans une bouteille d’eau. Boire 2 verres
Traitement homéopathique lors de la vaccination
- La veille : Thuya occidentalis 9CH : une dose
- Le jour même : Thuya occidentalis 5CH, 3 granulés trois fois par jour et Isothérapiques du vaccin 5CH, 1 dose le matin.
Immédiatement après la vaccination pour éviter la fièvre et toute inflammation (locale ou méningée) : Belladonna 30CH, une dose.
- Silicea 5CH, 3 granules 2 fois par jour.
- Le 2e jour : Thuya occidentalis 9CH, une dose le matin à jeun, pour éviter que le terrain de l’enfant ne devienne sycotique (blocage de l’immunité et installation d’une maladie chronique comme des rhumatismes), et pour éviter de faire ressortir une maladie familiale comme l’eczéma et l’asthme.
- Le 3e jour : Thuya occidentalis 15CH le matin à jeun.
- Le 4e jour : Thuya occidentalis 30CH, une dose le matin à jeun.
- Le 5e jour : Isothérapie du vaccin injecté en 30CH, 1 dose le 5e et le 20e jour (le matin à jeun), pour éliminer les effets spécifiques du vaccin injecté ce jour-là.
Je vous recommande mon livre « Pollution et santé ». Ed. Dangles (en librairie).
Bonne lecture !
Jean-Pierre Willem
Très intéressant article mais actuellement c’est choisir entre le médical ou le social et il n’y a pas de solution !!
Votre mail est super important. Je me suis fait vaccinée 2 x contre le covid-19 et je le regrette amèrement alors que ce que vous avez informé dans votre mail, je le craignais moi-même et pourtant je me suis comportée comme un mouton de Panurge tout en m’approvisionnant de curcuma, oméga 3, (huile de poisson), calcium, vitamines C et D, gelée royale/pollen/miel/échinacée, pure zinc + thé détox de Byolis pour contrer cette crasse injectée dans mon corps : pardon à mes pauvres cellules qui pourtant faisaient tout me tenir en forme. Voilà que je sabote mon système immunitaire ! C’est presque du masochisme ou pire !
Dites-moi s.v.p. si ce que je fais est n’importe quoi et que plus bête tu meures !
J’aimerais aller à la pharmacie et savoir quoi acheter pour vider mon corps des substances toxiques inhérentes aux 2 doses de vaccins et de l’entretenir le mieux possible. J’ai eu 80 ans samedi 21 août 2021, c’est maintenant ou jamais. J’espère que vous me répondrez parmi tous les courriels que vos devez recevoir, wishful thinking ? Quoi qu’il en soit, MERCI infiniment pour vos éclaircissements didactiques, c’est ultra utile. Et si vous avez un millième de seconde à remplir, écrivez-moi, j’en serai ravie.
cvm
Cher Docteur WILLEN
Votre courrier fut pour moi une joie de le lire ,et je vous remercie de vos conseils tres interessants .
Pouvez vous svp me faire savoir ce que veut dire :le jour du vaccin isotherapiques du vaccin en 5 ch ,et le 5eme jour isotherapie du vaccin injecte en 30 ch et le 20 eme jour , cela n’est pas clair dans ma tête, merci de vos explications car je ne suis pas la seule a ne pas comprendre .Cordialement a vous
Merci pour tous ces renseignements.
J’ai un gros doute sur les vaccins depuis un bon moment.
Après une première grossesse, j’ai suivi le conseil du médecin pour le vaccin de la rubéole car je n’étais pas immunisée. Après 4 ans et 2 fausse-couches, deuxième grossesse, ma fille est née. Elle était différente mais à l’époque, il n’y avait pas le CG-Harray, donc pas de diagnostic. Depuis, elle a eu un fils (sans faire de consultation génétique, malheureusement). Après les investigations, ils ont tous les deux une anomalie génétique rare : translocation non équilibrée P5.P10.
On nous a dit, c’est “la faute à pas de chance”. Je sais que cela est dû au vaccin. J’ai reçu mon dernier vaccin DTP à 6 ans; je donne régulièrement mon sang et j’ai un taux tétanos au plus haut! Tous ces rappels de vaccins nous empoisonnent.
Bonjour Docteur Willem, merci pour toutes ces informations,j’aimerais toutefois vous demander si il existe quelque chose à prendre en prévention avant de se faire vacciner car malheureusement certaines personnes ne souhaitent pas se faire vacciner mais sont obligées si elles veulent garder leur emploi!!
Tour ceci me fait penser à un fait qui s’est passé au début du XIX siècle; après la découverte du docteur Jenner du VACCIN contre la variole, en Espagne ils ont conçu pour lutter contre cette maladie d’amener, dans les bateaux, des enfants atteints de la variole pour immuniser les habitants de certains pays d’Amérique.
j’ignore comment mais je crois avoir compris qu’ils inoculaient les enfants de la variole et puis le passaient à d’autres enfants en faisant une chaîne pour arriver en Amérique et là bas ils continuaient a “vacciner” d’autres enfants et ainsi de suite. Une “campagne de vaccination” très réussie. Le docteur qui a mis en place le projet s’appelait Balmis appuyé par une infirmière appelée Isabel Zendal qui est considérée par la OMS la première infirmière en mission internationale. Peut-être vous nous expliquerez beaucoup mieux le procédé. En tout cas merci à vous qui nous apprenez tellement de choses.