Chers amis,
La fibrose désigne la transformation de certains tissus en un tissu composé de fibres, proche du tissu conjonctif. Elle intervient souvent à la suite d’une lésion tissulaire ou d’une inflammation d’un tissu où ceux-ci ne se régénèrent pas correctement : les tissus initialement sains sont alors remplacés par un tissu fibreux. Lors d’une lésion tissulaire, l’évolution normale se fait vers la cicatrisation, c’est-à-dire le remplacement des cellules mortes par des cellules identiques dont les fonctions sont conservées. En cas de déséquilibre du système entrant dans ce phénomène de réparation, il y a une production excessive de collagène ce qui conduit vers la fibrose. C’est à peu près le même schéma en cas d’inflammation chronique. La fibrose peut toucher de nombreux organes tels que le pancréas, le rein, le foie, le poumon, les cicatrices chéloïdes, la fibrose rétropéritonéale, la moelle osseuse (splénomégalie myéloïde), les séquelles dues à l’irradiation.
- La fibrose pulmonaire
Elle survient suite à une agression sévère aux poumons. En réponse à cette agression, l’inflammation chronique apparaît dans ceux-ci. C’est un mécanisme de défense utilisé par le corps pour se protéger contre un agresseur. Elle empêche les bactéries d’entrer dans le sang par la tuméfaction et fait appel à un ensemble de phénomènes de défenses de l’organisme pour colmater l’inflammation qui, normalement, disparaît une fois l’agression neutralisée, mais dans le cas de la fibrose pulmonaire elle est permanente et devient une inflammation chronique.
L’inflammation chronique a pour conséquence de créer du tissu cicatriciel dans les poumons. Les poumons perdent leur élasticité, deviennent rigides et la paroi des alvéoles (petits sacs qui permettent à l’oxygène d’entrer dans le sang et le CO2 de sortir) est épaissie. Ce mécanisme de cicatrisation peut affecter les bronchioles qui aboutissent aux alvéoles pulmonaires et aux vaisseaux sanguins pulmonaires.
Causes
Dans 1/3 des cas, aucune cause n’est retrouvée et l’on parle de fibrose pulmonaire idiopathique.
Elle peut également être secondaire à :
- différentes maladies pulmonaires (silicose, asbestose, pneumopathie d’hypersensibilité, sarcoïdose, histiocytose X et la granulomatose de Wegener) :
- à des maladies généralisées appelées collagénoses qui touchent le tissu conjonctif contenant des fibres protéiques (collagène) et qui joue un rôle de remplissage, de soutien et de nutrition, sclérodermie, lupus érythémateux disséminé, polyarthrite rhumatoïde et autres maladies auto-immunes ;
- des micro-organismes sécrétant des toxines ;
- certains médicaments comme l’amiodarone, la bléomycine, le busulfan, le méthotrexate et le nitrofurantoïne ;
- l’irradiation des poumons ;
- le tabagisme peut accroître le risque ou aggraver les symptômes ainsi que l’inhalation de poussières des sources bactériennes, fongiques, animales ou environnementales aériennes (benzène…).
Clinique
Une dyspnée (essoufflement) progressive à l’effort peut suggérer une fibrose pulmonaire. Les autres symptômes sont principalement :
- coloration bleue des lèvres et des ongles (cyanose) ;
- toux sèche irritative et un essoufflement anormal ;
- perte d’appétit et de poids ;
- déformation des doigts avec des ongles bombés (hippocratisme digital).
Dans quelques cas, à l’inspiration, des râles crépitants fins sont audibles à la base des poumons lors de l’auscultation.
Examens
Le scanner thoracique met en évidence des condensations du poumon avec un aspect en verre dépoli qui révèle une fibrose, surtout dans la partie inférieure des poumons. L’examen, appelé gaz du sang, retrouve un manque d’oxygène (hypoxie) dans le sang. L’état des poumons est évalué par les épreuves fonctionnelles respiratoires (mesure des volumes pulmonaires en soufflant dans un appareil spécial appelé spiromètre). Seule la biopsie d’un petit morceau de tissu pulmonaire permet de confirmer le diagnostic.
Si les symptômes gênent la malade, on procède à une corticothérapie pendant 1 à 2 mois.
Lors d’une spirométrie (examen de la fonction de ventilation pulmonaire consistant à mesurer les volumes et les débits inspirés et expirés), dans la fibrose pulmonaire restrictive, tant le VEMS (Volume Expiratoire Maximal Seconde) que la CVF (Capacité Vitale Forcée) sont réduits de sorte que le rapport VEMS/CVF est normal, voire augmenté, contrairement aux maladies pulmonaires obstructives pour lesquelles ce ratio est réduit, notamment dans la BPCO (Broncho-pneumopathie chronique obstructive).
Souvent, la biopsie n’est pas nécessaire en raison du diagnostic clinique et de la radiologie évocatrice.
Évolutions et complications
Dans la forme idiopathique sans cause connue, l’évolution se fait progressivement vers une insuffisance respiratoire chronique retentissant sur le cœur (insuffisance cardiaque droite). Les autres complications sont les infections et la survenue d’un pneumothorax (passage d’air dans la plèvre, l’enveloppe qui entoure le poumon).
L’hypoxie causée par la fibrose pulmonaire peut conduire à une hypertension artérielle pulmonaire qui, à son tour, peut conduire à une insuffisance ventriculaire droite. L’oxygénothérapie permet de prévenir cette évolution. On peut recourir au bol d’air de Jacquier (Labo Holiste)
La fibrose pulmonaire peut également entraîner un risque accru d’embolie pulmonaire, qui peut être prévenue par la prise d’anticoagulants.
Traitement officiel
La fibrose pulmonaire crée du tissu cicatriciel. Une fois développée, cette cicatrisation est permanente. Les mesures de prévention ou de ralentissement de la progression dépendent de la cause sous-jacente.
Dans la forme idiopathique, les médicaments utilisés sont les dérivés de la cortisone ou, en cas d’échec, un médicament anticancéreux, le cyclophosphamide (Endoxan®). Le patient nécessite souvent l’administration d’oxygène en continu à domicile et des antibiotiques seront prescrits au premier signe d’infection. Dans certains cas, une transplantation pulmonaire peut être envisagée. C’est la seule option thérapeutique valable pour les cas sévères.
- Immunosuppresseurs
Étant donné que certains types de fibrose pulmonaire peuvent répondre aux corticoïdes ou à d’autres médicaments immunosuppresseurs, ces types de médicaments sont parfois prescrits pour tenter de ralentir les processus qui conduisent à la fibrose.
Fréquence
La prévalence de la Fibrose Pulmonaire Idiopathique (nombre de personnes atteintes à un moment donné dans la population) est estimée entre 1 cas sur 3.500 personnes et 1 sur 7.000. La fréquence de la maladie augmente avec l’âge. Il semble que la maladie soit devenue plus fréquente. Elle survient en général vers 50 ans.
Médecine naturelle
On obtient de bons résultats avec la Sélongénine qui inhibe les fibroblastes, le Proselem un antiradicalaire et Trianox qui contient du silicium biologique, y compris chez les malades déjà sous oxygène, mais le danger est dans la menace d’infections qu’il faut prévenir ou traiter.
S’il y a hypogammaglobulinémie, une cure de STIMU+ chez Phyt-Inov pourra être bénéfique.
La Sélongénine est un extrait obtenu à partir des racines de Polygalaceae de la savane africaine. Elle est efficace dans la composante auto-immune, l’hypersensibilité retardée, l’hyperproduction d’immunoglobuline E (IgE), les fibroses et les affections prolifératives malignes assez différenciées.
Prendre 3 comprimés par jour, au cours des repas. Prolonger le traitement aussi longtemps qu’utile.
Certains chercheurs pensent que la fibrose pulmonaire idiopatique est une maladie auto-immune, ce qui signifie que le système de défense immunitaire, au lieu de détruire les éléments étrangers (bactéries, virus), se retournerait contre l’organisme lui-même et l’attaquerait, créant des lésions pulmonaires.
- La fibrose hépatique
Plus qu’une simple accumulation de tissu conjonctif, la fibrose est perçue comme la conséquence de la faillite de mécanismes régulateurs physiologiques : régulation de la quiescence des cellules de Ito, de la synthèse de collagène, de la fibrolyse, etc.
La cirrhose est une maladie chronique caractérisée par la fibrose évolutive du parenchyme hépatique. Le foie cirrhotique est roux, dur, bosselé, comme « clouté ». Les principales étiologies sont l’alcool (80% des cas en France), une hépatite virale, les causes métaboliques (hémochromatose, maladie de Wilson). Elle peut être symptomatique pendant plusieurs années, avec un tableau clinique fait d’asthénie, d’amaigrissement, et d’hémorragie digestive.
Les examens paracliniques montrent principalement un abaissement du taux de prothrombine et du taux d’albumine. On note également une augmentation modérée des transaminases et proportionnellement plus importante des Gamma GT. Les complications possibles sont les varices œsophagiennes (dues à l’hypertension portale) et l’hépatocarcinome.
Le FibroTest
Le FibroTest est un test d’évaluation non invasive de la fibrose hépatique.
Il correspond à un index de fibrose qui combine le dosage dans le sang de 5 marqueurs indirects de fibrose, avec un ajustement selon l’âge et le sexe de la personne.
C’est un test sanguin effectué pour évaluer le degré de fibrose et de cirrhose dans le foie.
Traitement naturel
- La fibrose hépatique est l’affection la plus préoccupante, en raison de la fréquence des hépatites virales et de l’alcoolisme (les deux étant souvent réunis). La particularité de cette affection, c’est la nécessité de supprimer l’agresseur de l’hépatocyte : alcool, ou (et) virus qui peut être mis « hors d’état de nuire ».
- Dans ce cas on prescrit Sélongénine, 3 gélules pour 70 kg, 4 gélules pour 80 kg.
- Desmopar soluté concentré (20 ml) ou Desmopar Fort Bio, 1 gélule avant les 3 repas, 1 mois.
Les affections hépatiques liées à la fibrose :
Cirrhose et pré-cirrhose du foie :
- L’extrait de Desmodium adscendens suffisamment dosé : cette plante arrive parfois à négativer la charge virale (Hépatite B), mais arrive plus souvent à conférer le statut de « porteur sain » avec des transaminases normales (ASAT, ALAT) et Gamma GT.
Quelle que soit la cause de la pré-cirrhose, si les Gamma GT sont élevées et si le fibroTest est supérieur à F2, utiliser la Sélongénine®, deux mois minimum. Et si le fibroTest indique F4, il faut ajouter Proselem® et Trianox®. On peut arriver aussi à passer au stade F3, ce qui met le malade hors de danger vital. Ce traitement devra, selon la gravité du cas et selon la réaction du patient, être continué plusieurs mois, avec des fenêtres thérapeutiques (arrêt du traitement) dont l’importance est commandée par l’évolution.
- Fibrose rétropéritonéale
Définition et causes
Transformation de la graisse située entre l’enveloppe qui entoure les intestins (péritoine) et la colonne vertébrale par une plaque de tissu rigide. Cette zone, appelée espace rétropéritonéal, contient les reins, les uretères, la veine cave et des nerfs provenant de la moelle épinière, qui peuvent être comprimés. Le plus souvent aucune cause n’est retrouvée, dans d’autres cas, il s’agit des effets secondaires d’un médicament utilisé contre la migraine (méthysergide, Désernil®), de séquelles d’une radiothérapie, d’un cancer, d’un traumatisme ou d’une inflammation d’origine digestive.
Fréquence
Affection rare, mais non exceptionnelle. La forme idiopathique (sans cause retrouvée) survient en général entre 40 et 60 ans, plus particulièrement chez les hommes.
Signes et symptômes
Les symptômes sont en lien avec la compression des structures situées à ce niveau. L’atteinte des uretères se traduit par des douleurs et parfois l’arrêt de l’écoulement de l’urine (anurie) ce qui entraîne une souffrance des reins (hydro néphrose). En ce qui concerne la veine cave, il s’agit d’œdèmes ou de phlébites au niveau des jambes. Un gonflement des bourses, dû à la présence de liquide dans la membrane qui entoure le testicule (hydrocèle vaginale), est fréquent.
Examens
L’échographie, le scanner, l’IRM et l’urographie intraveineuse avec un produit qui rend les urines opaques sur les radios.
Évolution et complications
La principale complication est une souffrance du rein, du fait de la dilatation des cavités urinaires, liée à l’obstruction, qui peut aller jusqu’à une insuffisance rénale.
Traitement classique
Des médicaments anti-inflammatoires (dérivés de la cortisone) peuvent être utiles, mais une intervention chirurgicale est souvent nécessaire pour lever une obstruction à l’écoulement des urines.
Prévention
Supprimer le méthysergide dans le traitement de la migraine (due le plus souvent à une intolérance alimentaire, voir mon livre « Les intolérances alimentaires », Editions Trédaniel).
Restaurer l’écosystème intestinal (dysbiose) : Enterogermes, 1 gélule le matin à jeun, + traitement naturel de la fibrose qui obéit bien à la Sélongénine, 3 à 4 gélules (selon le poids). Deux mois suffisent en général pour la rendre asymptomatique (ou à la faire disparaitre, ce qui peut être difficile à prouver).
- Fibroses cutanées (chéloïde)
Il s’agit d’une cicatrice hypertrophiée due à une accumulation anormale d’un composant de la peau, le collagène. Elle peut être secondaire à un traumatisme, soit évidente (plaie, chirurgie, brûlure), soit minime (acné…).
Les cicatrices constituent des masses en relief, dures, à surface lisse, rouge et tendue. Les régions les plus fréquemment touchées sont les oreilles, le menton, le sternum, les épaules.
Les cicatrices chéloïdes et les cicatrisations difficiles obéissent à la Selongénine, complétée par l’application d’un gel à base de Silicium organique (Doucéliantis) + Le Silicium biologique qui reconstitue la trame du tissu conjonctif, 3 gélules par jour. 1 mois.
Huiles essentielles par voie cutanée :
- HE Lavandula latifolia spica 1 ml
- HE Helichrysum italicum ssp sérotinum 1,5 ml
- HE Salva officinalis (Sauge) 2 ml
- HV Onagre 10 ml
- HV Rosa rubiginosa (rose musquée) 10 ml
- HV Germe de blé qsp 50 ml
2 à 3 applications par jour sur la cicatrice en la massant énergiquement en ramenant ses bords l’un vers l’autre (cicatrice post-chirurgicale).
Pour éviter les séquelles d’une irradiation on dispose de 2 HE : Niaouli et Tea Tree avant et après la séance.
Homéopathie
- THIOSINAMINUM 9CH, 1 dose par semaine jusqu’à guérison.
- Splénomégalie myéloïde :
Ou myélofibrose primitive : c’est un syndrome myéloprolifératif avec envahissement de la moelle osseuse par du tissu fibreux collagène qui empêche la formation des éléments sanguins (hématopoïèse).
La Sélongénine® seule suffit souvent pour supprimer des transfusions et améliorer la myélémie.
Proselem® et Trianox® peuvent cependant être utiles. Comme de nombreuses affections hématologiques, la Splénomégalie myéloïde peut s’acutiser (passage à une leucémie aigüe très grave). Pour prévenir cette acutisation, faire tous les trois mois une cure de 10 jours de DPG (hétérosides flavoniques de Daphné Gnidium) sous forme de Teinture de Gnidia Kraussiana, 30 gouttes matin et soir pendant 2 à 3 mois. A commander avec prescription médicale à la pharmacie Saint Joseph dans le Mans, Tel : 02 43 24 64 89.
- Fibroses radiques
La prévention grâce aux modalités modernes de radiothérapie constitue, à l’heure actuelle, un domaine d’activité intéressante, voire efficace, contre les fibroses. Mais l’interaction des radiations ionisantes avec les tissus génère des radicaux libres, à l’origine de l’inflammation inductrice de fibroses.
Irradiation pulmonaire
C’est une complication tardive assez rare, qui peut apparaître plusieurs mois après la fin de la radiothérapie et qui nécessite une prise en charge médicalisée spécialisée. Elle se manifeste par un essoufflement anormal ou une toux irritative. Le scanner thoracique met en évidence des condensations du poumon avec un aspect en verre dépoli. On parle de pneumopathie radique lorsqu’elle survient moins d’un an après la radiothérapie. Si les symptômes sont peu importants, une surveillance simple avec des tests respiratoires peut suffire (Grade 1). Si les symptômes gênent le malade, une corticothérapie par voie orale à un milligramme par kilo, pendant un à deux mois est nécessaire (Grade 2). Corticothérapie et oxygénothérapie.
Compléments alimentaires :
• La Sélongénine®, extraite du Polygaceae, inhibe certaines proliférations cellulaires, dont celle des fibroblastes. Les tradipraticiens africains avaient mis cette propriété à profit pour les cicatrices vicieuses (chéloïdes) par un traitement local (cataplasmes de poudre de racines) ou général (ingestion de poudre de racines, 3 à 4 g par jour).
La Sélongénine®, mise au point en 1975 par le CRP, est obtenue par hydrolyse des saponines de l’extrait total, ce qui supprime leur caractère irritant.
Cette forme d’extrait de Securidaca a des bons effets antifibrosiques (Posologie : 1 gélule/20 kg de poids) durant plusieurs semaines selon les maladies.
Mode d’action de l’extrait purifié
SÉLONGÉNINE® interfère sur des mécanismes de la réaction inflammatoire :
- En réduisant l’activité des fibroblastes ;
- En atténuant la multiplication de lymphocytes producteurs d’anticorps IgG ou IgM.
Les facteurs de l’inflammation recrutent des fibroblastes chargés de créer un tissu pour circonscrire la zone atteinte. Cette réaction est ensuite limitée par d’autres mécanismes qui empêchent la zone fibreuse de s’étendre exagérément. En effet, chez certaines personnes ou dans certaines affections la fibrolyse trop faible laisse la place à un tissu cicatriciel exagéré.
Sélongénine® permet de renverser ce phénomène et favorise la reconstitution d’un tissu fonctionnel. La récupération de fibroses anciennes a été observée mais reste soumise à des facteurs tels que la durée d’installation et le stade évalué par fibrotest ou fibroscan.
L’électrophorèse des protéines sériques montre une diminution des gammaglobulines.
L’action de SÉLONGÉNINE® se caractérise donc par une sédation lymphocytaire (essentiellement lymphocytes B et plasmocytes) avec fréquente diminution de la production d’immunoglobulines.
Indications de la Selongénine gélules
En premier lieu les maladies auto-immunes avec médiations sérique (auto-anticorps).
Ce sont essentiellement les phénomènes d’auto-immunité par auto-anticorps qui sont accessibles à la Sélongénine. L’effet biologique sur ces auto-anticorps, mesurable après 30 à 60 jours, accompagne en général l’effet clinique.
Le Lupus Erythémateux Disséminé (LED), les thyroïdes dites auto-immunes (Hashimoto et Basedow), la Maladie de Crohn et l’auto-immunité post-infectieuse.
La SEP (Sclérose en Plaques) : dans la forme chronique (ou lentement progressive), l’effet est inégal, certains malades peuvent présenter des améliorations discrètes et des stabilisations avec la Sélongénine (1 gélule pour 20 kg de masse corporelle).
Effets inégaux aussi dans la polyarthrite rhumatoïde, la recto-colite hémorragique ou les myasthénies.
Produits à essayer dans certaines maladies prolifératives : lymphome non hodgkiniens, cancer de la prostate bien différencié de l’homme âgé, intolérance alimentaire, eczéma, psoriasis, asthme, allergies avec immunoglobulines élevées.
- Les épilepsies post-traumatiques peuvent être améliorées par ce traitement.
On a aussi obtenu des améliorations modestes, mais certaines, suite à des compressions médulaires progressives après traumatisme vertébral.
- Action stabilisatrice, avec parfois de petites améliorations, dans la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) avec Sélongénine®, Proselem® et Trianox qui relève probablement d’une activité antifibrosique. Quand la prise prolongée de sélongénine irrite l’œsophage et l’estomac, on peut recourir à la sélongénine ET (extrait total) 150 mg par gélule (boite de 60 gélules). La sélongénine classique contient 180 gélules. Elle est garantie d’innocuité, prendre 1 gélule par 20 kg de masse corporelle.
Les anti-radicaux libres
• Les anti-radicalaires sont très importants, car les radicaux libres entretiennent la fibrose. Notre préférence va au PROSELEM, disponible au VitaApi. C’est du Sélénium rendu biologique par le passage à travers une algue vivante, la spiruline. Il est bon de commencer par une dose de charge : 1 gélule pour 10 kg de poids, pendant 15 jours ; puis 3 gélules par jour.
• Le TRIANOX®, le silicium biologique nécessaire pour reconstituer la trame du tissu conjonctif de la peau, des phanères, des os, du cartilage, des tendons et les parois artérielles, le silicium diminue avec l’âge. Boite de 60 gélules.
Posologie : 2 à 3 gélules par jour, aussi longtemps qu’utile.
• ULTRASELEM, contient 6 antioxydants (Sélénium, Resvératrol, vitamine E, SOD, spiruline) qui assurent :
- La protection de l’organisme contre les dégâts causés par les radicaux libres ;
- La prévention du vieillissement, des fatigues physiques et intellectuelles, des troubles de la mémoire, des troubles de l’humeur, du stress et de l’angoisse ;
- Le renforcement du système immunitaire.
Portez-vous bien !
Jean-Pierre Willem
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Cette article est exceptionnellement exhaustive mais utile pour ceux qui sont atteints de ces maladies invalidantes. Ils représentent des millions de malades.
Les Africains et asiatiques font souvent des cicatrices chéloïdes.
10 000 enfants souffrent de la mucoviscidose (fibrose kystique du pancréas) qu’on peut réduire avec des HE (Inule odorante, Laurier noble).
Un de mes confrères est mort d’une fibrose pulmonaire. La médecine dominante ne peut traiter la fibrose.
La selongénine et l’immuno-regul au labo Phyt-Inov sont les seuls produits aptes à traiter les maladies auto-immunes (45 maladies soit 5 millions de Français atteints de fibroses, mucoviscidose, cicatrice chéloïde, épilepsie, maladie de Crohn, syndrome des ovaires polykystiques, etc.).
L’institut des maladies auto-immunes de Montpellier n’a pu accueillir Céline Dion, atteinte d’une maladie auto-immune.
Labo VitaApi, Tel : 04 94 06 41 33.
Labo CRP Phyto, Tel : 05 34 66 41 64. Contact@crp-phyto.com Ou www.facebook.com/CRP.phyto
Achetez mon livre « 104 maladies du 21e siècle ». Ed. Testez.
La DMLA peut être améliorée d’après votre lettre avec selongenile Peut on ajouter d’autre plantes, produits ou médecines douces à votre protocole ? Je vous remercie de me lire et de suggérer des options pouvant améliorer ma vision
Merci infiniment Dr Willem de nous partager ces informations primordiales qui peuvent aider, soigner, guérir , redonner espoirs aux malades abandonnés à la médecine classique. Celle-ci ne s’intéressant pas ou reniant les phytothérapies par manque d’ouverture d’esprit ou manque de connaissance , ou tout simplement manque d’intérêt . Par contre inféodée aux laboratoires qui vendent leurs remèdes anti fibrosiques à prix d’or. (Esbriet 1200€ la boîte / 1 mois).
Il y a 20 mois mon mari est décédé d’une fibrose pulmonaire (constatée après prise de Métotrexate sur plusieurs mois , donné pour eczéma géant ) , médicament dont vous parlez dans votre lettre.
Vos lettres et livres , vidéos sont des trésors.
Merci cher Dr Willem
Grâce à vous j’ai retrouvé goût et odorat perdus suite Covid en respirant l’he de romarin ..
Bonjour !
Je n’ai jamais fumé, car contre j’ai contracté une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) dû à la fumée secondaire de tabac. Je sais que cette maladie ne se quérit pas, mais est-ce que le Dr Willem pourrait me donner des façons d’atténuer les effets avec des huiles essentielles ou autres…
Merci infiniment !
Hélène Roy
bonjour,
j’ai très longtemps eu des uvéites a répétitions maladie auto-immunes, j’ai 61 ans, je n’en ai plus mais j’ai des séquelles: vue très basse, hypertension oculaire. quels compléments alimentaires me conseillez vous? très cordialement
Bonjour j’étais ravi pour mon mari après la lecture de votre lettre cher Docteur,il souffre d’une Abestose et fibrose pulmonaire,j’ai donc commandé les produits chez VitaApi et plus rien! Le laboratoire a mis la clée sous la porte! Auriez vous d’autres produits à conseiller je vous prie,que pensez vous du bol d’air Jacquier pour ces pathologies Merci🙏