Les mutilés pour rien , au sujet du cancer de la prostate  

Chers amis,

Que de tribulations quand vous passez dans les mains de certains chirurgiens urologues !

Vous vous retrouvez embarqués dans une litanie de soins variés qui n’ont rien d’un long parcours acceptable.

On décèle 72.000 cancers de la prostate en France dont environ 10.000 décès.

Surveiller l’état de sa prostate, c’est bien, mais se faire traiter inutilement peut vite devenir dommageable.

C’est notamment le cas pour le cancer de la prostate, très fréquent chez les hommes de plus de 50 ans, mais qui ne présente généralement que peu de risques d’évolution.

Or, avec le phénomène de surdiagnostic, accompagné d’un surtraitement au stade précoce, l’incidence du cancer a explosé.

Le surdiagnostic

L’évolution de la maladie est difficile à prévoir, d’où la complexité à distin­guer les cancers de la prostate qui vont devenir agressifs et qui doivent être soignés immédiatement, des cancers qui vont rester « latents », c’est-à-dire qui ne se révéleront pas ou qui évolueront très lentement (sur plus de 15 ans) et qui ne nécessitent pas de traitement.

Le dosage du PSA participe au diagnostic du cancer de la prostate.

Cependant il faut savoir interpréter les résultats, car le PSA n’est pas spécifique du cancer et augmente aussi en cas d’adénome de la prostate qui touche au moins un homme sur trois et en cas de prostatite (inflammation de la prostate souvent liée à une infection chronique fréquente).

L’antigène spécifique de la prostate PSA se dose dans le sang, il est un reflet indirect de la taille de la prostate et de la croissance des cellules de cette glande.

Tous les hommes, avec l’âge, fabriquent des cellules cancéreuses dans leur prostate. On en trouve dans plus de 70 % des cas après 80 ans !

Or, le cancer de la prostate ne touchera jamais 70 % des hommes.

Cela montre clairement que beaucoup d’hommes fabriquent des cellules « cancéreuses » dans leur prostate et que ces cellules dispa­raîtront ou ne se développeront jamais.

Le problème est que, devant une élévation du taux de PSA, les méde­cins proposent facilement des biopsies de la prostate et, évidemment, ils trouvent souvent des cellules cancéreuses.

Cette situation a créé une confusion générale qui s’est terminée par un rejet du « PSA pour tous ».

Le développement de nouvelles méthodes de diagnostic comme l’IRM multi­paramétrique change la donne et remet le dépistage sur le devant de la scène.

Ces diagnostics par excès entraînent deux conséquences :

Donner l’illusion que beaucoup de patients guérissent du cancer de la prostate alors que ces hommes n’auraient peut-être jamais vu ces cellules anormales se développer.

On traite inutilement de nombreux hommes qui ont été muti­lés pour rien.

Car la chirurgie de la prostate entraîne des problèmes urinaires et surtout sexuels souvent invalidants !

Les taux de survie se sont formidablement améliorés du fait de ce surdiagnostic, passant de 73 % en 1999 à 82 % en 2007.

Mais combien de ces hommes ont été traités inutilement et gonflent ainsi artificiellement ces bonnes statistiques ?

Ainsi, une étude a montré que le nombre de personnes opérées d’un cancer de la prostate dépend du nombre d’urologues dans le département.

Ces chiffres montrent bien qu’il y a un excès de diagnostic et donc de traitement en France comme dans beaucoup de pays industrialisés.

Beaucoup d’urologues ont pris conscience de ce phénomène et quand la biopsie montre des cellules cancéreuses peu nombreuses et de faible agressivité, ils proposent maintenant une « surveillance active ».

C’est-à-dire qu’on ne propose au patient aucun traitement, mais une simple surveillance par la biologie, et l’imagerie

En réalité, la majorité des cancers de la prostate évolue très lentement ; les symptômes ne surviennent en moyenne que 10 à 15 ans après l’apparition de la tumeur quand elle est très localisée.

Test du PSA

Pour dépister un cancer précoce de la prostate, le médecin prescrit d’abord chez l’urologue un toucher rectal, qui permet de repérer une grosseur suspecte ou une anomalie de consis­tance.

Mais une anomalie n’est pas forcément une tumeur et son absence n’exclut pas non plus forcément le risque de cancer.

Vient alors l’examen de dosage du PSA, qui consiste à mesurer la concentration dans le sang d’une protéine synthétisée par la pros­tate (l’antigène spécifique de la prostate).

Son taux augmente théoriquement en cas de cancer, mais aussi d’infection ou d’adénome (tumeur bénigne) de la prostate.

La plupart des laboratoires considèrent qu’un taux normal de PSA est d’environ 4 ng/ml.

Mais certains chercheurs utilisent un seuil encore plus bas, pour déterminer plus précisément les risques qu’encoure un homme à déve­lopper un cancer de la prostate.

On pourrait donc penser que le test du PSA permet de détecter un stade précoce du cancer, mais ce n’est malheureusement pas le cas.

Un seul résultat anormal sur quatre est réellement un cancer !

Les trois autres sont ce que l’on appelle des faux positifs… qui mènent malgré tout à une cascade d’examens médicaux, comme des biopsies à répétition, stressants pour le patient (non malade) et sa famille.

Le score de Gleason

Pour choisir la conduite à tenir, mieux vaut connaître les différents stades de la maladie.

Pour mieux vous repérer, le score de « Gleason » peut vous être utile. Il est calculé à partir de l’analyse de la biopsie et des examens d’imagerie, permettant, in fine, de préciser l’avancée et le pronostic de la maladie.

La classification de Gleason est mesurée à partir de 5 grades architec­turaux de la vie cellulaire, allant du grade cellulaire 1, le plus différencié au grade 5 le moins différencié.

Le grade 1 est très proche du tissu normal et de diagnostic difficile, car le tissu ressemble au tissu prostatique normal. Le grade 3 est le plus fréquent.

Les cancers bien différenciés de grades 2 à 4 sont peu fréquents, représentant 1 à 6 % des cas, de même que sont rares aussi les plus dangereux de score de Gleason 8 à 10.

Le score de Gleason est constitué de 2 chiffres :

  • Le premier correspond au grade cellulaire le plus repré­senté sur les biopsies ;
  • Le second correspond au grade cellulaire le moins repré­senté et le plus élevé sur les biopsies.

La somme des 2 chiffres à une valeur pronostique : plus le score est élevé, plus grave est la maladie.

Le score de Gleason qui va de 6 à 10 est remplacé progressivement par le score ISUP allant de 1 à 5. Plus l’indice est bas, moins la tumeur est agressive.

On distingue cinq groupes de tumeurs :

  • Les tumeurs localisées à faible risque : ce sont des tumeurs peu agressives.

Elles touchent un seul lobe prostatique, de très petite taille et associées à un taux de PSA faible (inférieur à 10 ng/ml).

Leur évolution est lente et l’impact sur l’espérance de vie à court/moyen terme extrêmement faible.

  • Les tumeurs localisées à risque intermédiaire :

Ce sont des tumeurs moyennement agressives (score de Gleason inférieur à 7) ou restant localisées à un seul lobe, ou encore associées à un taux de PSA moyen (10-20 ng/ml) ;

  • Les tumeurs localisées à haut risque :

Il s’agit de tumeurs agressives (score de Gleason supérieur à 7) ou étendues à plusieurs lobes prostatiques, ou encore associées à un taux de PSA élevé (supérieur à 20 ng/ml) :

  • Les cancers localement avancés :

Il s’agit de tumeurs ayant franchi la capsule prostatique ou les ganglions pelviens ;

C’est un cancer à risque élevé. Il faut trouver des solutions pour ralentir l’évolution tumorale.

  • Les cancers métastatiques.

On utilise alors des anti-androgènes par voie orale pour bloquer la production et l’utilisation des hormones mâles par les cellules cancéreuses (Androcur et Casodex) avec effets secondaires : bouffées de chaleur, gynécomastie, baisse de libido.

Associez le houblon qui est un excellent anti-androgène.

On utilise encore des produits injectables (Enantone, Decapeptyl, Zoladex, Firmagon) ou hétero-isothérapique : Leuproréline 200K (Enantone) ou Bicalutamide 200K (Casodex) 3 granules par jour.

Causes du cancer de la prostate

Si le cancer de la prostate est si fréquent, ce n’est pas uniquement lié au surdiagnostic.

En effet, ce cancer est très lié à l’imprégnation hormonale et, paradoxalement, ce sont surtout les xénoœstrogènes, donc des hormones plutôt féminines qui sont en cause, bien plus que la testostérone.

D’ailleurs, les personnes ayant une testostérone basse feront plus de cancers de la prostate que ceux qui ont un niveau normal ou élevé de cette hormone mâle.

Ainsi, beaucoup de facteurs de risque évoqués pour le cancer du sein vont se retrouver dans le cancer de la prostate.

Ce n’est forcément pas un hasard si ces deux cancers sont les plus fréquents.

  • Consommation du lait de vache et ses dérivés (facteurs de croissance).
  • Les graisses saturées et trans.
  • L’obésité (à partir d’un IMC de 27) génère des cancers hormonodépendants.
  • L’alimentation industrielle.
  • Les facteurs épigéniques (tabagisme, pesticides).
  • L’irritation chronique (infections répétées, surexposition aux écrans…).
  • La consommation excessive de calcium (produits laitiers).

Hypertrophie de la prostate

Une prostate volumineuse peut atteindre jusqu’à 100 ml et un poids de 125 g, soit 5 fois son poids de départ.

Ce gonflement et la surproduction de cellules de la prostate sont dus en partie à la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone.

L’enzyme qui accomplit cette action est la 5-alpha-reductase.

Cette augmentation du volume de la prostate entraîne une compression de l’urètre, une vidange de la vessie incomplète, une envie d’uriner plus fréquente, des troubles de l’érection ou de la sexualité.

Pour réduire cette hypotrophie et en limiter les conséquences, plusieurs actions sont possibles, notamment en bloquant l’action de la 5-alpha-réductase, détendant les muscles de la vessie, de la prostate, et de l’urètre pour permettre un meilleur écoulement du jet urinaire.

Le Laboratoire FENIOUX regroupe l’ensemble des remèdes aptes à « dégonfler » cette hypertrophie : (CurbiProsta, LithoProsapalm, LithoPygeum Africanum et le dernier ProsaZinc qui s’avère très efficace).

ProsaZinc est composé d’extrait de fruit de sérénoa et de zinc sous sa forme bisglycinate.

Le bisglycinate de zinc est la forme chimique la mieux absorbée par l’organisme, garantissant ainsi une assimilation optimale.

Le zinc est un minéral particulièrement intéressant pour la prostate, il régule l’enzyme 5-a-réductase, qui empêche les cellules de la prostate de proliférer et donc à la prostate de grossir.

Le zinc permet aussi d’agir sur les problèmes de sexualité.

Il maintient un taux normal de testostérone, afin d’éviter une sur-conversion de la testostérone en dihydrotestostérone.

Devant une telle hypertrophie, le chirurgien se frotte les mains.

Il procède à une chirurgie minimale invasive robotique : pour réaliser une réduction de la prostate (coût 2500 euros).

Les conséquences : dysfonctionnement érectile (impuissance), le sperme repart dans la vessie, la fonction urinaire est perturbée et surtout les troubles sexuels abondent.

Les dégâts de la radiothérapie

Selon le Dr Jean-Lionel Bagot, diplômé de carcinologie clinique et homéopathe, l’irradiation est pres­crite en complément de la chirurgie en cas de facteurs de risque (rup­ture capsulaire, atteinte de la graisse périprostatique …) ou à la place de la chirurgie.

Depuis l’utilisation de la radiothérapie conformation­nelle, il n’y aurait plus de rougeur ou de brûlure de la peau, dès lors que la péné­tration des rayons se fait par quatre à six accès différents divisant d’autant la quantité de rayons reçue par la peau.

Par contre, le rectum et la vessie sont très proches de la zone irradiée et bien que protégés au maximum, ils reçoivent une partie de la dose ce qui peut provoquer des épisodes de diarrhées ou de faux besoins, ainsi que des cystalgies (brûlure de la vessie).

A ce sujet, je vous recommande le livre du docteur Bagot, « Cancer et homéopathie », Unimedica.

Pour tous les effets secondaires, l’homéopathie est conseillée.

Les effets secondaires sur la vessie

Envie plus fréquente d’uriner, besoins urgents, difficultés à uriner, sen­sation de brûlure.

On veillera à boire beaucoup d’eau peu minéralisée, 1,5 à 2 litres par jour.

CAUSTICUM : difficultés à uriner, perte d’urine, absence de plaisir sexuel. En 5 CH, 3 granules 2 fois par jour.

CANTHARIS : Dysurie majeure avec besoin incessant d’uriner, hématurie, sensation de brûlure de la vessie et de brûlure en urinant. En 9 CH, 3 fois par jour.

VESSIE : organothérapie de soutien de la muqueuse de la vessie. En 4 CH 1 à 2 ampoules buvables par jour.

Les effets secondaires sur l’anus

Des poussées hémorroïdaires sont possibles et doivent être traitées dès le début de leur manifestation par des soins locaux (bains de siège, pommades et suppositoires) tout en luttant contre la constipation.

PÆONIA : hémorroïdes congestives enflammées, saillantes, volumineuses et suin­tantes. Fissures et fistules anales très douloureuses au toucher, avec spasme rectal et sensation de cuisson, suintement constant.

En 4 CH, 3 granules 3 fois par jour.

RATANHIA : douleurs anorectales intenses comme provoquées par des éclats de verre pilé dans le rectum, qui se prolongent après la selle, constrictives et brûlantes, accompagnées de diarrhées fétides et brûlantes irritant l’anus, hémorroïdes. Présence possible également de fissures et de fistules. En 4 CH, 3 granules 3 fois par jour.

SEDUM ACRE : douleurs anales ou rectales persistant après la déféca­tion en raison de fissures anales, d’hémorroïdes ou même de cancer anal. En 4 CH, 3 granules 3 à 4 fois par jour.

NITRICUM ACIDUM 7 CH : fissures et fistules, tendance aux ulcérations saignantes et piquantes comme par une écharde.

ACHILLEA MILLEFOLIUM D 4/CANTHARIS D 8/EQUISETUM ARVENSE D 4/VESSIE D 8 ana 60 ml.

15 gouttes 3 à 4 fois par jour en cas de brûlure urinaire.

Les effets secondaires sur le rectum (glaires)

Plusieurs selles ou fausses selles par jour ne sont pas rares.

Ce phéno­mène est dû à l’irritation du rectum (rectite). Elles sont le plus souvent contrôlées par un régime sans fibres, sans résidus et sans épices.

ALOE: en cas de diarrhée ou de selles molles précédées de gaz intes­tinaux.

Emission de mucus gélatineux.

Difficultés à retenir les selles notamment en passant un vent.

En 5 CH, 3 granules 2 à 3 fois par jour.

PODOPHYLLUM : diarrhées matinales de selles aqueuses, abondantes et jaunâtres.

Elles sont précédées de bruits hydro-aériques et suivies de faiblesse avec une sensation de vide abdominal améliorée par la position couchée sur le ventre, prolapsus rectal.

En 5 CH, 3 granules 3 fois par jour.

CÔLON : organothérapie de soutien de la muqueuse colique. Une am­poule buvable en 4 CH, 1 à 2 fois par jour.

Les effets secondaires sur le muscle ilio-psoas

C’est le muscle de la ceinture pelvienne, il est très atteint.

Par sa position proche du centre de gravité du corps, il a une influence sur le maintien de l’équilibre.

Comme le psoas part de la colonne lombaire, passe par la hanche et s’attache sur le fémur, il peut causer de la douleur dans le bas du dos et le bassin.

Effectivement, lorsqu’il est moins souple, il vient tirer sur la région lombaire et augmente par le fait même de la lordose, (la courbe dans le bas du dos).

Il peut donc causer des douleurs dans les régions du dos, de la hanche, de l’aine, du ventre, de la jambe et plus encore.

Il est d’ailleurs l’un des responsables de l’inconfort ou de la douleur en position couchée sur le dos, les jambes allongées, lorsqu’il est plus raide.

Aucun ostéopathe n’est apte à récupérer la situation (sinon qu’ils se fassent connaitre !).

Je vous recommande Sveltus muni de picots, à mettre sous les fesses ou la plante des pieds.

It missa est. La messe est dite

*

*          *

Le statut hormonal

Les œstrogènes peuvent se dégrader par différentes voies qu’on appellera pour simplifier la voie des 2-OH des 4-OH ou des 16-OH.

Si les œstrogènes se dégradent vers les voies 4 ou 16, ils favoriseront bien plus le risque de cancer.

L’indole-3-carbinol des brocolis et autres crucifères, se transforme dans l’organisme en Di-Indole Methane (DIM) qui va favoriser la dégradation des œstrogènes par la voie des 2-OH qui, elle, va réduire le risque de cancérogenèse.

Le rapport entre les métabolites oestrogéniques (2-hydroxy-oestradiol/16-hydroxy-œstradiol) est un indicateur stable de l’équilibre hormonal de la femme et de l’homme.

Ce rapport influence la santé de tissus spécifiques comme les seins, l’endomètre, la prostate. L’élimination inefficace de ces métabolites a des conséquences néfastes pour les tissus gynécologiques riches en récepteurs hormonaux.

Pour équilibrer le système hormonal : manger des brocolis 3 fois par semaine.

Une liste des produits d’origine naturelle :

Brocolinum 2 fois 2 gélules (Cancers hormono-dépendants) contient des brocolis, graines de lin, glutathion, zinc et sélénium. Labo Phyt-Inov.

Ou Indolmet (Labo Longevie), 1 gélule par jour. Tel 00 32 (0) 69 76 50 60. Mail : info@longevie.com.

Compléments alimentaires

Alkylglycérol, accompagne la chimio et radiothérapie, 2 fois 2 capsules.

ADN REGEN nucleotide protège des effets génotoxiques et leurs mutations (cancer).

Labo Copmed tel : 05 49 28 01 36.

Huiles essentielles radioprotectrices :

HE Niaouli et Tea tree à appliquer avant et après la radiothérapie (le radiologue n’apprécie pas !).

ProsaZinc est un incontournable pour tous les hommes à partir de 40 ans. C’est la solution pour maintenir une prostate en bonne santé et en bon état de fonctionnement malgré l’âge. Il agit à la fois sur les problèmes urinaires du quotidien et les soucis sexuels dus à l’hypertrophie.

A Paris : Boutique Fenioux 11 Rue Daru Paris 8.

Je vous renvoie à mon livre : Le secret des peuples sans cancer. Prostate, sein, utérus, ovaires… Ed. Dauphin.

A bientôt !

Jean-Pierre Willem

prostate

22 commentaires pour “Les mutilés pour rien , au sujet du cancer de la prostate  

  1. bonjour, merci pour ces informations. je me permets d’indiquer (venant d’un site Suisse) la tisane de: EPILOBE à PETITES FLEURS. personnellement il m’arrive de faire une cure de 1 mois tous les 6mois.
    avec mes respectueuses salutations.
    Andre Domergue
    PS: il m’est arrive de vous ecouter lors de salon de medecine douce/naturelle

  2. Bonjour,
    En décembre 2020 cancer prostate T3b N1M1. Traitement par suppression androgénique (Décapeptyl) pendant 40 mois. Avril 2024 TEP PSMA : tout est éteint en dehors de la prostate. SUV 10.8 lobe gauche (Lésion cible). Merci qui ? La S.A bloque la maladie, ne la guérit pas ! Alors ? Le système immunitaire ? Involution?
    Cordialement
    JMS

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