Les médecines alternatives dans le viseur

Cher(e) ami(e),

Le 18 mars 2018, 124 médecins et professionnels de santé ont décidé de publier une tribune pour dénoncer l’utilisation de médecines alternatives. Depuis, les campagnes contre ces thérapies se multiplient.

Objectif : alerter sur les promesses fantaisistes et l’efficacité non prouvée de ces remèdes.

Trois risques sont mis en avant :

  1. « Ces médecines soignent l’inutile en surmédicalisant la population »
  1. Elles provoquent une grande « défiance » vis à vis de la médecine traditionnelle ;
  1. Enfin, elles « retardent les diagnostics ».

L’homéopathie en première ligne

En tête des pratiques visées, l’homéopathie. Les signataires réclament la fin du rem­boursement de ces préparations, l’obligation pour les professionnels de santé de ne plus les prescrire et l’interdiction d’enseigner cette discipline.

L’an dernier, plus d’un tiers des Français a eu recours à l’homéopathie, ce qui place l’Hexagone en tête des pays européens.

Aux Etats-Unis, une loi impose déjà aux fabricants d’indiquer sur les étiquettes des médicaments homéopathiques que leur efficacité n’est pas scientifiquement prouvée…

Si l’homéopathie n’est pas un traitement du cancer, elle a toute sa place dans l’accompagnement des effets secondaires et dans l’amélioration de la qualité de vie du patient. Rappelons qu’il n’existe pas de médecine alternative en cancérologie, elle est toujours complémentaire.

Que reproche-t-on donc aux médecines alternatives et particulièrement à l’homéopathie ?

Elles ne seraient pas des médecines scientifiques.

Elles ne peuvent prouver leur efficacité.

Elles retarderaient le diagnostic et le traitement officiel.

Des accusations infondées

Combien de fois n’a-t-on pas entendu que l’homéopathie serait une substance sans activité pharmaceutique, d’ordre psychologique !

Lors des matchs de football, ne voit-on pas le coach distribuer de l’arnica à ses athlètes ?

L’arnica est bien connu pour soulager les chocs et les traumatismes :

  • Pour une bosse, on propose Arnica en 4 ou 5 CH
  • Pour des courbatures après une séance de sport ou en cas de grippe, on a recours à Arnica en 7 ou 9 CH
  • Et enfin, en cas d’anxiété ou d’insomnie à la suite d’un deuil ou un accident déjà ancien, on préfère Arnica 15 ou 30 CH.

On dit que l’homéopathie n’agit pas rapidement, c’est faux : on a d’excellents résultats sur les troubles aigus, que ce soit des infections ORL, la grippe, une piqûre d’abeille ou une insolation. Si vous avez 40° de fièvre sans transpiration, prenez une dose d’Aconit en 7 CH, ça va vous faire transpirer, la fièvre va tomber et vous n’aurez aucun besoin de paracétamol.

Le paracétamol est toxique pour le foie, tandis que grâce à Aconit en dilution homéopathique, c’est votre organisme qui réagit et se soigne lui-même : le processus naturel reprend le dessus.

Dans les états chroniques, l’homéopathie agit avec des médicaments de fond. Là, il faut connaître son profil homéopathique et son terrain pour avoir un remède personnalisé.

Mais il y a une loi importante à connaître : quand vous prenez un médicament homéopathique, il faut arrêter le traitement dès que les symptômes régressent.

Car si vous continuez à le prendre, il peut engendrer des symptômes semblables à ceux de la maladie. En cas de toux par exemple, si on vous a recommandé Drosera, il faut l’utiliser uniquement le temps de la guérison, sinon il peut entretenir le phénomène de toux.

La médecine n’a jamais été une science exacte. Elle s’appuie sur l’expérience.

Pourtant la notion de dogme, c’est-à-dire de vérité intangible, préside en force dans le milieu médical, même dans le milieu théoriquement sélectionné du corps enseignant.

Il est d’ailleurs piquant de constater que les détracteurs de l’homéopathie reprochent aux homéopathes, qui se sont toujours appuyés sur l’expérience, de ne pas être « scientifiques », alors qu’eux-mêmes se présentent dans la pire des attitudes antiscientifiques en refusant de s’intéresser à leurs observations.

Car il suffirait d’un regard honnête sur les résultats cliniques obtenus depuis deux cents ans pour se convaincre que ceux-ci méritent un peu plus d’attention et que le fondateur de l’homéopathie, Hahnemann, a bien apporté en médecine une forme de révolution.

Des critères de validation biaisés

La légitimation sociale de l’homéopathie est bien amorcée, il faut maintenant qu’elle soit validée par le milieu « scientifique ». Mais il existe à nouveau des obstacles épistémologiques redoutables à cette validation, car les mots n’ont pas le même sens dans les 2 camps :

  • Pour les tenants du discours dominant, une thérapie est « validée » si elle satisfait aux critères existants, sur lesquels reposent la reconnaissance du savoir actuellement établi.
  • Pour les défenseurs des médecines alternatives, une thérapie est validée en fonction de l’efficacité du traitement et sa contribution à un élargissement du savoir médical. Les critères offi­ciellement en vigueur sont suspects de partialité et réducteurs.

On touche le fond du problème : la médecine officielle n’est pas actuellement en mesure de produire les outils et les procédures qui permettraient d’évaluer et de valider les pratiques médicales complémentaires.

Elle peut seulement édicter des exigences concernant les conditions générales à respecter dans l’intérêt des patients : non-toxicité relative des substances employées, strictes conditions d’hygiène dans les préparations de médicaments, formation du prescripteur et de l’exécutant de la prescription.

Ces procédures sont adaptées aux médicaments de composition chimique contrôlée et sont le plus souvent inapplicables à des thérapies qui ne relèvent pas de la pharmacothérapie la plus orthodoxe.

Pourtant si l’on se réfère à l’épistémologie, une médecine pratiquée depuis de longs siècles chez des millions de patients avec une efficacité certaine présente un statut scientifique. C’est le cas pour l’acupuncture et l’homéopathie.

L’homéopathie : une question de logique

L’homéopathie est régulièrement remise en question malgré des validations pratiques très nombreuses. Déjà son fondateur, le médecin allemand Samuel Hahnemann, avait été violemment dénigré lorsqu’il a commencé à pratiquer l’homéopathie en 1800. Il a été chassé de Leipzig et a dû déménager de ville en ville avant de finir par s’installer à Paris.

Ce qui fascine dans l’homéopathie, c’est la taille infiniment petite de la substance utilisée. D’ailleurs à ce niveau, ce n’est même plus de l’ordre de la molécule, mais de l’information.

Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il est possible de conserver la mémoire d’une molécule même si elle n’est plus présente.

Voilà comment fonctionne l’homéopathie : on va agir sur l’organisme en lui envoyant une information sur une molécule, auquel il répond en amorçant une activité identifiée à cette molécule.

Ainsi, Jacques Benveniste a démontré que l’eau conserve les propriétés d’une molécule qui ne s’y trouvait plus. Il n’a pas montré qu’un médicament dilué à l’infini est encore capable de guérir, mais qu’un produit biologique peut transmettre son activité à de l’eau au cours de dilutions successives.

D’autres ont obtenu les mêmes résultats, comme le Pr Luc Montagnier qui, après avoir filtré de l’eau contenant des microbes, a retrouvé la longueur d’onde du microbe sans qu’il en subsiste la moindre molécule. Il est certain qu’il existe autre chose que la chimie pour expliquer l’action de ces médicaments.

Curieusement, les mentalités n’ont pas beaucoup évolué depuis deux siècles et le reproche qui est fait aux homéopathes est toujours le même : « Vous ne pouvez pas guérir avec rien ! »

Depuis 15 ans, plusieurs études cliniques ont été effectuées en « jouant le jeu », malgré ces règles très défavorables et même contraires à l’homéopathie. Menées souvent en double insu (un groupe prend le remède et un autre groupe prend un placebo sans savoir qui prend quoi), elles ont fréquemment montré l’efficacité des traitements homéopathiques.

Une conception qui rejoint la science moderne

L’homéopathie se confronte à l’infiniment petit. Cette notion controversée à son époque est aujourd’hui bien mieux comprise, avec l’émergence de la physique quantique et des particules.

Hahnemann a fait une autre découverte fondamentale : la loi d’inversion d’action suivant les doses. Pour simplifier, une substance va avoir un effet inverse si elle est utilisée à haute dilution ou à basse dilution.

Ainsi, l’adrénaline hypertensive à doses normales se révèle hypotensive à doses infinitésimales.

De même, les scientifiques découvrent aujourd’hui que les catalyseurs accélèrent à doses infinitésimales de puissantes réactions biologiques.

L’importance d’une médecine à taille humaine

La grande qualité de l’homéopathie est de considérer l’humain dans sa totalité, corps et esprit.

On peut comprendre pourquoi beaucoup de personnes se tournent vers les médecines qui ont sauvegardé cette notion de l’esprit de synthèse et, à l’homme divisé, préfère l’homme total :

  • Analyser l’homme dans sa spécificité au lieu de la maladie ;
  • Préférer la nuance à la classification ;
  • Prendre en compte non seulement la matière, mais aussi le rôle de l’énergie.  

L’échec de la médecine chimique

Aucun médicament chimique n’est « accepté » par l’organisme car il n’est pas équipé pour les « métaboliser ». On dit que ces substances chimiques sont iatrogènes, c’est-à-dire qu’elles génèrent d’autres maladies.

En effet ces éléments étrangers et agressifs vont altérer les 5 barrières qui nous protègent.

En commençant par la barrière intestinale : la muqueuse perforée va laisser passer les débris alimentaires, les virus et les bactéries. Le dernier filtre est la barrière entre le cerveau et la circulation sanguine. Lorsqu’elle est débordée, elle donne lieu à des maladies neurologiques : Alzheimer, SEP, Charcot, Parkinson….

Voilà pourquoi les maladies infectieuses et les affections incurables ont cédé la place au développement de maladies chroniques dégénératives et surtout mentales.

Cela explique peut-être pourquoi, depuis 1965, l’espérance de vie masculine stagne autour de 78 ans.

Le progrès scientifique s’est assorti de si fâcheux effets secondaires qu’un malade sur cinq est hospitalisé pour « effet secondaire » de thérapeutique.

Dans les services cardiovasculaires sont aménagés des espaces destinés, d’une part, aux thérapeutiques anticoagulantes et, d’autre part, aux méfaits de ces mêmes thérapeutiques. Le traitement des causes et des effets ne sont séparé que de quelques mètres.

Chaque année le ministère de la santé interdit deux produits chimiques. Cela a commencé avec le Mediator qui a eu un retentissement international, suivi par Depakine, Previscan et la liste à exclure ne fait que commencer.

Personnellement pour traiter une bronchite trainante, mon pharmacien m’a recommandé Cyflox, un des derniers antibiotiques dit efficace. Deux jours après la prise j’ai subi une rupture d’un tiers de mon tendon d’Achille. J’ai consulté le Vidal qui signale qu’une seule gélule peut causer la rupture totale du tendon.

Tous ces produits pris au long cours sont iatrogènes. Notre ministre de la santé heureusement ne rembourse plus les 4 remèdes majeurs destinés à la maladie d’Alzheimer.

Beaucoup de patients ont relevé les méfaits des IPP, alpha et bêta bloquant, des statines, des bisphosphates, employés quotidiennement.
Seule, la médecine générale, cette mal-aimée des facultés de médecine, a réellement cherché en France et en Europe à élaborer une réponse adaptée aux situations auxquelles elle est confrontée.

Les médecins généralistes se tournent avec intérêt vers les pratiques parallèles car ils sont au contact permanent des patients. Conscients de la coupure qui s’établit entre le discours savant et le discours social sur la santé, formés par leur écoute des patients, ils sont à la recherche d’alternatives mieux comprises.

Aujourd’hui où tout semble bouger à une allure folle, l’homéopathie représente une voie fédératrice qui est véritablement révolutionnaire :

  • Elle accorde la plus grande attention aux véritables aspirations de l’humain à préserver son unité,
  • Ses fondements convergent avec les préoccupations modernes de la science notamment en matière de faibles doses et de recherche de remèdes capables de rétablir ou de maintenir les équilibres biologiques sans effets secondaires.

A l’opposé d’un système dispensateur de soins planifiés qui assisterait chaque individu de façon plus ou moins autoritaire sans tenir compte des aspirations de chacun, le médecin de terrain propose que celui-ci prenne son destin en main et soit l’artisan de sa santé dans une étroite collaboration de dialogue avec tous les membres du corps médical.

En témoignant qu’il peut exister d’autres manières d’appréhender l’homme dans sa maladie, on peut concevoir qu’une nouvelle conception de la santé et de la maladie émerge et permettra à toutes ces « médecines », entre temps apurées, de s’intégrer dans un ensemble cohérent : la science médicale aura alors franchi une nouvelle étape.

On ne parlera plus de médecines parallèles, les patients disposeront d’une médecine plus « écologique », plus naturelle et plus efficace.

Cet appel à une « médecine générale de l’homme » commence à se manifester dans les couches profondes du corps médical.

Dans cette aspiration à un rapport qualitatif entre la science et l’homme, l’homéopathie est systématiquement mise à l’écart alors que sa doctrine, son mode de pensée correspondent exactement aux exigences actuelles. Son introduction dans tous les pays (Amérique du Nord et surtout Amérique latine, Allemagne, Angleterre, Italie, Suisse, Belgique) a donné naissance à de nombreux instituts, collèges et cliniques médicaux ; sociétés et publications se sont multipliées.

Une attitude aussi négative de la part de médecins, professeurs de facultés de médecine ou responsables de santé publique, ne peut s’expliquer que par des comportements passionnels et irrationnels.

Galilée pour éviter d’être dispersé en cendres et fumée sur un bûcher de l’Inquisition, se rétracta, devant le tribunal ecclésiastique, de ses affirmations scientifiques concernant la rotation de la terre.

Comme lui qui affirma, en aparté, « et pourtant elle tourne », beaucoup de praticiens homéopathes ont dû, pendant deux siècles, faire le gros dos sous les lazzis de confrères « pseudo-scientfiques » en murmurant : « et pourtant, nous guérissons ».

La diligence tuait moins que l’automobile

Il y a plus de 40 ans, on ironisait dans une revue scientifique en dessinant un médecin classique dans une automobile moderne et un médecin homéopathe dans une diligence. Aujourd’hui j’ose dire que la diligence avait peu d’accidents et tuait beaucoup moins que l’automobile (voir les scandales actuels sur tous ces médicaments qui tuent).

Puis-je vous offrir une diligence sur coussin d’air, à propulsion solaire, à conduite automatique, pour vous amener dans l’espace de la santé par l’homéopathie et les médecines naturelles, plutôt que de vous laisser dans votre voiture polluante, non biodégradable, qui roule trop vite et qui tue des milliers de gens ? Bon voyage !

Lorsqu’on lit la presse médicale quotidiennement, on est vite persuadé que la conception du médicament est en train d’évoluer dans les grands laboratoires pharmaceutiques classiques. On croit de moins en moins en la solution du médicament miracle capable de guérir une maladie.

On s’intéresse de plus en plus aux molécules porteuses d’information entre les cellules comme les interleukines que l’on tente d’utiliser pour traiter certaines maladies graves comme les hépatites chroniques C ou certaines leucémies.

L’idée qu’il faudra en arriver à traiter chaque malade individuellement en utilisant ses propres molécules commence à faire son chemin.

Dans le même temps, on voit se multiplier les recherches sur les plantes traditionnelles utilisées dans toutes les pharmacopées du monde. Cette phytothérapie, qui a longtemps tenu la première place en médecine, revient à l’honneur, et de nombreux résultats attestent que les anciennes préparations qui contiennent des mélanges de molécules extraites par différents procédés d’une partie ou de la totalité de la plante sont généralement plus actives que le principal produit actif isolé de ce complexe.

Voilà ! Amis lecteurs, la réponse d’un médecin homéopathe qui pratique l’homéopathie et autres médecines naturelles depuis 40 ans, notamment lors de missions humanitaires avec mon association « Les médecins aux pieds nus », ce qui m’a valu d’être rayé de l’Ordre des médecins et du conseil d’état alors que je n’ai jamais été inscrit à cet ordre.

Je suppose que la plupart d’entre vous recourent à ces médecines alternatives.

Je vous signale que j’ai créé en 1987 à la Sorbonne, la faculté libre de médecines naturelles et d’ethnomédecine ouverte au public (niveau bac).

Ainsi vous pouvez vous inscrire à une des nombreuses disciplines (naturopathie, diététique, homéopathie, réflexologie, aromathérapie, médecine énergétique…).

Ces cours ont lieu en week-end ou par correspondance.

Tel 0142500458
Site internet : www.flmne.org
Email : 
contact@flmne.org

Vous pouvez aussi obtenir une subvention de l’état. Peut-être à bientôt de faire votre connaissance !

Jean-Pierre Willem

 

62 commentaires pour “Les médecines alternatives dans le viseur

  1. Je suis également en recherche de toujours plus de médecine alternative. Si je ne les avais pas eu, je serais dans de sérieux problèmes sociaux, familiaux et professionnels. Je ne m’inquiète plus de ce genre de livre qui critique ces “autres médecines”. Bien au contraire, si ces médecins tirent sur leurs “concurrents”, c’est qu’ils savent le danger que cela peut représenter pour leur “marché”. Idem pour les “industries !!!” pharmaceutiques, en manque de nouveaux profits juteux. Bref, plus ils critiquent, plus ils me confirment que je suis sur la bonne voie. Sans quoi ils ne paniqueraient pas. “La bave des crapeaux n’attend pas les étoiles”. Qu’ils cherchent à faire du profit avec des cochons, ou à réparer des vélos, mais pas en utilisant leurs “”patients!!””

  2. Dernier petit commentaire. Mon épouse vétérinaire traite les animaux en consultations entre-autre par voie homéopathique, et ce depuis plus de 30 ans. Comment expliquent-ils le soi-disant effet placebo sur un animal ? Ils vont sans doute sortir quelques âneries habituelles (auxquelles ils ne croient sans doute pas eux-même) pour justifier leur bizzness. Le risque est en fait qu’ils préfèrent vous voir mort plutôt que d’échapper à leur
    “médecine”. Ils ont sans doute vendu le serment d’Hippocrate lors de la dernière brocante du coin. Faites gaffe les gars, la Vérité finit toujours par triompher. A bon
    entendeur salut!

  3. Mr le docteur Willem je suis tout à fait d’accord avec ce qui est écrit dans votre lettre. Je suis moi même victime de ces médicaments chimiques (glandes surrénales détruites) et la médecine voit ça comme normale c’est le risque Merci il faudrait beaucoup plus de personnes comme vous

  4. L’homéopathie est un trésor. Mes petites filles, il y a 3 ans avaient des verrues sur le corps, A l’époque elles avaient 4 and et 12 ans. Les pauvres, pomade et brûlures n’ont pas stopées ces verrues. Elles en avaient sur differents endroits du corps. La plus petite a même commencé à en avoir sur le visage. C’était un vrai problème. Nous sentions perdus. Une amie m’a conseillé de leurs faire prendre des granules de Thuya occidentalis, Sepia officinalis et Lycopodium. Toutes leurs verrues ont rapidement disparues et plus revenues. Un grand MERCI à l’homéopatie. Isabelle STELLA de Colmar

  5. Cela fait 45 ans que j utilisé l homeopathie,avec de résultats souvent meilleurs que l allopathie, même pour remplacer une chimiothérapie! Et en plus la Sécu y gagne!il faut laisser aux patients leur libêrte et leur bon sens

  6. Merci beaucoup pour votre lettre d’information.
    C’est toujours clair et précis
    Oui, je crois à l’homéopathie et aux médecines alternatives. Je les soutiens. Je vous soutiens.
    Bon courage

  7. Les 124 médecins qui ont signés cette charte, ne disent pas combien ils ont reçus des laboratoires pour vomir de te tel.. absurdités. Vous devriez avoir honte messieurs les calomniateurs de médecines douce.. A bon entendeur.

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