Chers amis,
Selon la chanson, nous nous adaptons au rythme de l’évolution de la pandémie virale.
En janvier 2020, nous trouvions encore incongrue l’idée d’enfiler un masque sur le nez pour fréquenter des lieux publics.
C’est alors que les premiers cas de Covid-19 sont apparus en France : en quelques jours, le manque de masques est devenu un sujet d’inquiétude et de polémique dans tout le pays.
Nous étions loin d’imaginer tout ce qui nous attendait, de la saturation des hôpitaux à la mise à l’arrêt de l’économie mondiale…
Trois ans plus tard, le Covid-19 semble presque devenu une maladie comme les autres.
Les mesures drastiques prises alors, confinements ou tests par millions, qui ont généré de profonds traumatismes (économiques, scolaires, psychologiques…), sont désormais abandonnées car disproportionnées : merci les vaccins.
Et tout le monde a envie de retrouver une vie « normale », la vie d’avant.
Pourtant, nous avons pris, avec l’apparition de cette floppée de virus, quelques bonnes habitudes qu’il serait dommage de perdre.
Éternuer dans son coude.
Télétravailler quand on est fébrile.
Éviter les embrassades quand on tousse.
Aérer les locaux fermés.
Se laver les mains régulièrement ou porter le masque quand la foule est dense…
Autant de moyens d’éviter de colporter un virus, qu’il s’agisse de celui du Covid, de la grippe ou d’un autre virus hivernal, et donc de protéger les plus fragiles et d’alléger le fardeau des soignants.
Il est d’ailleurs curieux qu’il ait fallu attendre cette pandémie pour généraliser ces petits réflexes d’hygiène et de bon sens.
Qu’il ait fallu les appeler « gestes barrières » pour adopter ce qui n’est rien d’autre qu’un comportement civique.
Les variants s’adaptent
Notre ministère de la Santé rappelle avoir prodigué « des conseils pour adapter au mieux la stratégie de lutte contre le Covid-19 tout en préservant le besoin de surveillance de l’épidémie ».
Il y a urgence, car le système Contact Covid, qui sert au suivi des cas contacts, est censé prendre fin le 31 janvier.
Pour autant, l’émergence d’un nouveau variant, plus transmissible et/ou dangereux, est toujours possible, d’où la nécessité de pouvoir le détecter le plus tôt possible.
Ceci passe par le séquençage, c’est-à-dire l’analyse complète du génome sur un prélèvement positif.
Ce qui implique de tester suffisamment, comme ne cessent de le répéter l’Organisation mondiale de la santé et le Centre européen de prévention des maladies.
Plus globalement, « quand bien même on allégerait les préconisations pour le dépistage, il faut que ce soit réversible, au cas où la situation le nécessite », avance un professeur d’épidémiologie et de santé publique.
Par ailleurs, le risque de « Covid long » paraît plus marqué que celui de séquelles d’une grippe.
Le succès des tests multiples
La 9ème vague de Covid est en très fort recul, en attendant la – très probable – 10e.
Et si l’avenir de la surveillance des maladies infectieuses passait par des tests combinés, permettant de détecter à la fois le Covid et la grippe, voire aussi une infection au VRS (le virus respiratoire syncytial, responsable notamment de la bronchiolite chez l’enfant) ?
« Si on veut basculer le suivi Covid vers un suivi grippe, il serait intéressant d’atteindre un juste milieu par le biais de ce genre de tests multiples », estime l’épidémiologiste Mircea T. Sofonea.
Deux types de tests multiples existent : les antigéniques, qui donnent un résultat en une quinzaine de minutes, et les PCR, qui peuvent nécessiter vingt-quatre heures pour le verdict.
Ces tests antigéniques, Covid et grippe, sont le plus souvent réalisés en pharmacie.
Ces prélèvements sont-ils vraiment efficaces ?
« Les performances des tests antigéniques grippe et Covid varient beaucoup selon le fournisseur, le prélèvement, le délai, etc. », estime un biologiste.
« Pour la grippe ou le VRS, les tests rapides peuvent manquer de sensibilité pour les faibles charges virales. Le test PCR demeure la seule technique vraiment fiable. Les triples tests PCR fonctionnent exactement comme les PCR Covid habituels », décrit un virologue au sein du groupe Cerba.
En Espagne
Depuis 3 ans, je communique avec mes confrères – pratiquant une médecine de terrain –, ainsi je prends le pouls des pays voisins.
Les Espagnols semblent plus détendus, mais ils n’ont pas tourné la page.
Au printemps dernier, deux ans après l’un des confinements les plus sévères d’Europe, l’Espagne est devenue le premier pays du continent à traiter le Covid-19 comme la grippe. Fini les arrêts maladie automatiques, les tests chez le médecin et le suivi exhaustif de l’épidémie.
« L’Espagne, c’est le pays des excès ! On passe d’un confinement presque carcéral à une liberté presque absolue », relève un confrère madrilène.
« J’ai trouvé ça un peu précoce et j’étais inquiet quand on a mis fin au protocole spécial et à la surveillance ; grâce au succès de la campagne de vaccination, le Covid-19 a désormais la même létalité que la grippe, c’est logique de le traiter de la même façon », me signale Félix Del Ojo, médecin à Alméria, en Andalousie.
Aujourd’hui, le Covid n’existe quasiment plus dans les conversations ou à la télévision.
En revanche, revers de la médaille, les autorités sont aveugles sur la prévalence du virus.
Les médecins et les pharmacies ne pratiquent plus de tests.
La population a recours aux autotests, toutefois, mais en cas de résultat positif, il n’est plus nécessaire de se signaler à l’assurance maladie.
« Nous ne délivrons des arrêts de travail qu’en cas de symptômes importants. Seuls les cas graves sont répertoriés et suivis. »
Et puis, en Espagne, le masque n’a pas disparu : il reste obligatoire à l’hôpital, chez le médecin, en pharmacie et dans tous les transports en commun.
« On est plus détendus, mais on n’a pas tourné la page. On sait que le virus est encore là, même s’il est moins dangereux », témoigne Carmen, retraitée.
« Je continue de me laver les mains et d’utiliser du gel. Ça me rassure de porter le masque dans le bus. En revanche, je regrette que la mesure ne soit plus tellement respectée dans le métro. »
Dans les supermarchés ou dans la rue, beaucoup de personnes âgées continuent de se couvrir le visage.
Pour un infectiologue de l’Université, ce changement de stratégie de l’Espagne devenait inévitable.
« Nous n’avions pas le choix. L’Espagne a pris un risque, mais pour le moment, les chiffres que nous avons sont bons.
Il n’y a pas eu de reprise de l’épidémie. Et puis, à l’hôpital, dans les centres de santé ou les maisons de retraite, on continue de faire très attention. »
Quand cette sagesse s’emparera des Français ?
En France, il semblerait que nos compatriotes se soient réveillés de leur torpeur, empreinte de la médecine dominante.
M’appuyant sur mon million et demi de followers, je réalise que la situation sanitaire change de camp.
Mon petit livre « Tout savoir sur les virus et y faire face » se vend comme des petits pains. Il est vrai que pour 14 euros, on préserve sa vie.
Aujourd’hui, on ne quitte plus les EHPAD les pieds devant.
Les huiles essentielles sont diffusées dans les chambres.
Les « Covid longs » sont circonscrits. Des confrères courageux recourent à l’embaumement vivant, pour éviter la réanimation.
Pour les non-initiés, je rappelle la technique :
Lorsqu’une pathologie virale est particulièrement aigüe, un moyen d’exception pour bloquer l’infection virale consiste en l’utilisation d’une technique appelée « embaumement vivant ».
Elle se résume à appliquer un volume très élevé d’huile essentielle (10 ml !), en une seule application, sur une surface corporelle étendue. L’huile essentielle fortement antivirale est appliquée pure sur la peau, puis seulement, par la suite, un peu d’huile végétale (calendula ou autre) sera posée sur le tissu cutané.
Ce soin achevé, les doses appliquées redeviennent normales et conformes au protocole antiviral.
Sourire aux lèvres, des patients déclinent les quatre huiles essentielles salvatrices (eucalyptus radié et globulus, ravintsara et laurier noble), et l’incontournable STIMU+, en prévention pour renforcer l’immunité.
Dans plusieurs de mes newsletters, j’avais évoqué la possibilité, pour les patients atteints par le Covid et souffrant de troubles olfactifs, de déboucher dans les prochaines années vers une maladie d’Alzheimer.
En Allemagne, des infectiologues ont reconnu cette éventualité, c’est ainsi que mon livre « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire » connaît une envolée.
Evidemment, la mafia médicale m’a transpercé de ses multiples flèches, tel l’archange Saint Michel.
Et pour la petite histoire, permettez-moi d’évoquer ces êtres spirituels, placés au-dessus de l’ange dans la hiérarchie angélique de l’Eglise catholique.
Saint Michel archange vainquit le dragon. (Apocalypse).
Le diable est déchaîné, mon cher ami ; et quand on n’est pas aussi fort que l’archange Michel, qui le battit si bien, il faut faire une honnête retraite. Voltaire, Lettre à M. Christin, 14 mars 1767.
Les êtres étoilés que nous nommons archanges (…) Hugo, Les Contemplations, V, XIV.
Son œil héroïque et souverain faisait songer à un archange. Hugo, Quatre-vingt-treize, III, vil, 6.
Rassurez-vous, je ne suis pas un ange, je reste un humble médecin qui accomplit son activité comme un sacerdoce, en mon âme et conscience. Par ailleurs je dors bien !
A bientôt !
Jean-Pierre Willem
Bonjour. Si j’apprécie les conseils du Dr Willem en matière d’huiles essentielles et autres thérapies naturelles, je déplore son évaluation de la campagne dite de vaccination contre le Covid. Il ne parle jamais des effets secondaires calamiteux provoqués par ce qui reste une thérapie génique expérimentale. Si la situation sanitaire générale s’améliore, ce n’est certes pas dû aux prétendus vaccins, qui ne sont ni sûrs ni efficaces, puisqu’une personne “vaccinée” peut transmettre la maladie. Cette embellie est tout simplement le résultat de la perte d’agressivité du virus. Le désastre économique provoqué par les absurdes campagnes de confinement de personnes saines restera un handicap difficilement surmontable.
Bonjour,
Pouvez-vous me préciser qu’est ce que STIMU+ qui agit sur l’immunité.?
Vous y faites référence dans une de vos lettres d’information.
Je vous remercie pour vos précisions.
Bien cordialement.
S. ORBE
Je lis toujours avec plaisir et beaucoup d’intérêt vos articles.
Moi, ce qui m’épate c’est d’entendre dire “je continue de me laver les mains” !! Se laver les mains, c’est une des choses essentielles que nous aura appris cette pandémie, et pourtant !!! Se laver les mains c’est le B-A BA de l’hygiène qui n’aurait jamais dû être négligé, même et surtout, avant la pandémie. C’est LE geste santé le plus logique qui soit, à privilégier, à automatiser ; mais pourquoi est-il si difficile à ancrer dans les esprits ???? !!!
Cher Dr Wilhelm
Je lis vos articles depuis peu et je les apprécie beaucoup . J’ai aussi regardé vos vidéos .
J’ai eu le covid le 22/9/2022 et j’avais perdu complètement l’odorat . Depuis peu de mois , je sens à nouveau des odeurs mais complètement transformées et qui ne me rappellent rien de connu antérieurement : ma cuisine ne sent pas bon et le caca de ma chatte n’est pas désagréable…
Après avoir entendu votre vidéo sur Alzheimer, ( ayant quelques problèmes de mémoire – j’ai 72 ans ) , je me suis décidée à respirer l’HE de romarin plusieurs fois par jours et au bout de seulement moins d’une semaine , o , miracle mon odorat c’est considérablement amélioré : je sens à nouveau l’odeur pestilentielle du caca de ma chatte … ( c’est du vécu , cela ne s’invente pas ! ) et bien sûr , d’autres odeurs bien plus agréables .
Par contre , je ne suis pas tout à fait d’accord avec vous au sujet du port de masque : en temps que dentiste j’ai travaillé toute ma vie dans la bouche des gens sans masque et pendant longtemps sans lunettes et sans gants .
Je crois beaucoup plus en notre immunité . La seule fois où j’ai été malade , ( une hépatite A , ) j’étais très fatiguée, stressée et j’avais besoin de vacances payées . Hépatite que j’ai guérie en 15 jours avec l’Elixir du Suédois et trois semaines d’arrêt de travail .
Au sujet du Covid , j’ai beaucoup de choses à dire , mais je ne sais pas si cela vous intéresse sauf peut-être que j’ai pris ( entre beaucoup d’autres produits ) les trois HÉ que vous préconisez , cela sans avoir lu vos conseils .
Comme le dit le Dr Louis Fouché, ceux qui ont voulu savoir , ont su ce qu’il fallait faire …
Je vous remercie pour vos excellents conseils et je vous suis reconnaissante. Pour mes problèmes de mémoire , je vous tiendrai au courant si vous le souhaitez , je n’en suis pas encore à trois semaines.
Tout de bon à vous
Monique Bruckert
Il est ridicule de porter un masque car les trous sont 3 à 10 fois plus gros que le virus et sur les côtés de celui-ci le virus a autant de place pour passer qu’un piéton sur la place de la concorde à paris !
Quand on était tous masqués pendant la période de mardi-gras permanent je sentais à 10 mètres les fumeurs dans les magasins ce qui prouve bien que même les distances de sécurité étaient le fruit de personnes dérangées ou corrompues. D’ailleurs pour conseiller le Paracétamol qui détruit le foie ou dire au gens à la télévision qu’il faut attendre d’avoir du mal à respirer pour aller aux urgences c’est assassin car à ce moment là il est déjà trop tard. La solution c’est l’oxymètre pour contrôler son oxygénation et tous les conseils prodigués par des médecins non corrompus comme l’huile essentielle de ravintsara, l’exercice quotidien , le zinc et les vitamines C et D3. Pour les gens contaminés le professeur Raoult a dit que l’hydroxychloroquine était efficace et les politiciens qui n’y connaissent rien l’ont interdit alors cherchez l’erreur… Il avaient d’ailleurs aussi dans le viseur les huiles essentielles et tous les autres médicament peu onéreux dont certains médecins ont démontrés l”efficacité.
On sent bien que les instances gouvernementales sont mouillés dans cet histoire de vaccin qui ne sert à rien sauf tuer ou faire tomber malades les gens qui se sont laisser prendre.
Jean-Pierre bonjour – Depuis un bon bout de temps je reçois et lis vos articles – Sur ce dernier, je relève qu’en deux ou trois occasions vous parlez de “vaccins” contre le COVID, alors que moi je parle “d’injections chimiques” ! Comment pouvez-vous, homme de médecine que vous êtes, parler de “vaccin” alors qu’il ne s’agit que d’un “produit expérimental” qui n’a toujours pas obtenu son “A.M.M.” ? – Par ailleurs, de nombreux pays semblent avoir abandonner ces injections, celles-ci étant susceptibles de participer à la propagation du virus au cours des jours qui suivent la dite injection – (Cela sans m’étendre sur les effets dits secondaires qui en découlent souvent) Personnellement, je crois en l’immunité naturelle, et non pas à cette “bouillie” dont le seul but a été d’enrichir les laboratoires dirigés par des personnes “douteuses” adoubées par des politiciens tout aussi “opaques” !…
Bonjour
Je crois que le peuple a souffert de cette gestion calamiteuse des restrictions et veulent tourner la page
La vigilance peut être de mise mais avec des gens sérieux et non ceux qui nous ont donnés ces consignes debiles
Bonjour,
Je réagis enfin suite aux liens que vous mettez dans vos e-mails : en effet, j’adorais vous lire, mais depuis que je suis vos liens, je m’aperçois que
-le narratif vidéo est plus que « incitant » à acheter
-Il est impossible d’arrêter la vidéo en cours de lecture pour une pause (répondre au téléphone par exemple)
-il est impossible de reculer dans la vidéo (si on a mal compris ou pas entendu un mot par exemple)
Tout ceci me laisse septique.
D’autant plus avec la disparition de mon commentaire !
🙏💞👼👍🔑🎉 GRATITUDE CHER DOCTEUR 💖👌🥳 LA VÉRITÉ DÉRANGE 🙏💖👌 MAIS GAGNE TOUJOURS PARFAITEMENT ET IL Y A DE PLUS EN PLUS DE CONVAINCUS QUE LA NATURE DIVINE ENTIÈRE NOUS OFFRE DE QUOI NOUS SOULAGER DÉFINITIVEMENT 🙏🎁🙏💖👌 LONGUE ET DOUCE VIE À VOUS CHER GRAND MONSIEUR DE LA VRAIS MÉDECINE QUI VIENT DU CŒUR DIVIN UNIVERSEL ET DE VOTRE SACERDOSSE MÉDICAL GRATITUDE. 🎉🥂🌈🎁🙏💖👌👼🍀🥂💋