Chère lectrice, cher lecteur,
De plus en plus de patients atteints par le coronavirus se plaignent des symptômes qui persistent et qui réapparaissent après plusieurs semaines.
Dans le même temps, plus de 20% de patients qui se croyaient guéris illustrent parfaitement la sournoiserie de la maladie.
En effet, plusieurs semaines après l’apparition des premiers symptômes, parfois plus de deux mois, certains malades font des rechutes.
Difficultés respiratoires, fièvre, fatigue irrésistible, anosmie, les manifestations sont multiples.
Un phénomène qui sonne comme un rappel à l’ordre.
Si certains indices laissent penser que le combat évolue dans la bonne direction, ce n’est pas le moment de baisser la garde.
La majorité des personnes qui subissent cette rechute sont des femmes, la quarantaine, souffrant d’une immense fatigue, de céphalée, de douleurs musculaires, d’un malaise général, quatre à six semaines après le début des symptômes.
En général, on bénéficie d’un répit, qu’on peut assimiler à une lune de miel, entre le 15e jour, date de fin de la maladie, et le 30e jour, puis ça repart comme une bobine de fil à l’envers ; des signes réapparaissent un à un.
De quoi déboussoler le médecin qui n’a jamais assisté à un tel scénario.
Comment est-ce possible ?
Le point de départ pourrait être l’inflammation induite par le virus et non le virus lui-même qui serait à l’origine de la réapparition des symptômes.
Certains infectiologues pensent que cela arrive chez des gens qui n’ont pas développé d’anticorps, peut-être parce qu’ils sont immunodéprimés.
Il pourrait s’agir aussi des dégâts provoqués par le coronavirus sur l’ensemble des organes via le récepteur ACE2 qui se loge dans la 3ème barrière à savoir les cellules endothéliales vasculaires.
Pourtant, un signe annonciateur et révélateur existe
Prenons le cas d’une jeune femme contaminée qui ne présente qu’un seul signe clinique : la perte d’odorat ou anosmie, autrement dit une déficience olfactive.
Deux semaines après, elle sent à nouveau les fleurs de son balcon.
Elle a vaincu ce satané virus !
Mais, que nenni ! Ce signe apparemment banal, renvoie à une altération cérébrale. Le virus a franchi les cinq barrières censées nous protéger ; la dernière étant la barrière hémato-encéphalique.
L’évolution mènera peut-être, dans quelques années, vers la maladie d’Alzheimer.
La perte d’odorat est un signe pathognomonique que l’on rencontre spécifiquement dans cette maladie neuro-dégénérative.
Le système olfactif renvoie au bulbe olfactif puis au cerveau limbique qui recèle l’hippocampe (le centre de la mémoire) et l’amygdale (l’organe de l’émotion).
Il semblerait que la perte de l’odorat persiste, dans 20 % des cas.
Certains restent très handicapés et récupèrent seulement la moitié de leur capacité.
Dans ce dernier cas, c’est plus préoccupant, car le délai de récupération peut s’éterniser.
Face à la persistance de l’anosmie, des spécialistes ORL, sont à la recherche d’un traitement. S’ils proposent des remèdes chimiques, tels ceux qui étaient donnés dans la M.A, ce sera l’échec ?
Seule une médecine de terrain peut parvenir à enrayer ce processus malin.
Pour commencer : restaurer le terrain
La spiruline, une microalgue, l’un des premiers maillons de la chaîne de la vie, est connu comme « l’aliment parfait de la nature », elle contient plus de 70 % de protéines, les 8 acides aminés essentiels à l’organisme, les oligo-éléments, les vitamines…
Elle doit sa particularité à un pigment bleu, la phycocyanine, qui lui donne des propriétés si particulières : elle est capable de stimuler la production de cellules souches au sein de la moelle osseuse et réaliser la synthèse des globules blanc et rouge et des plaquettes.
La phycocyanine est l’un des plus puissants antioxydants connus (70 fois la superoxyde-dismutase SOD naturelle, vingt fois la vitamine C, seize fois la vitamine E).
Elle constitue une protection contre les méfaits des radicaux libres en excès dans notre organisme.
Il s’agit d’un complément alimentaire de choix en période de fatigue et convalescence. Cette algue bleue-verte maintient l’énergie et le tonus.
Ce complément alimentaire, à savoir TOUT EN VIE (Labo Fenioux), contribue au fonctionnement normal du système immunitaire.
Posologies :
- Extrait d’acérola : 1000 mg et extrait de spiruline 400 mg de phycocyanine.
- Etui de 12 unicadoses de 10 ml. Les résultats sont exceptionnels. Prendre 1 à 2 unicadoses par jour.
Labo Fenioux www.laboratoires-fenioux.com. Tel : 02-54-27-16-94.
Commande directe par carte bancaire au : 02-54-27-54-12.
Ou une autre algue : l’Aphanizomenon (AFALG), 3 fois 2 gélules (labo Phyt’Inov).
Deuxièmement : restaurer le microbiote
Le système immunitaire intestinal a pour fonction de reconnaître les particules alimentaires étrangères et de les laisser passer au travers de la muqueuse intestinale en les tolérant.
L’équilibre à chaque instant est délicat et va induire un « bruit de fond » inflammatoire physiologique nécessaire pour un fonctionnement optimal.
- Lactospectrum assure une protection efficace vis-à-vis des bactéries, des virus, des éléments toxiques présents dans la lumière intestinale.
Posologie :
Prendre 1 sachet par jour. (le soir au coucher ou le matin au lever).
Cure de 20 jours (à renouveler). Boite de 20 sachets – Prix : 28,50 €. Labo Le Stum. Tel : 02-97-88-15-88
Site internet : www.labo-lestum.fr
- Les bienfaits du charbon actif
C’est une variété de charbon de bois micronisé (sous forme de poudre noire) présentant une très grande surface spécifique qui lui confère un fort pouvoir adsorbant.
La liste est longue des poisons éliminés par ce charbon activé : les stupéfiants, les alcaloïdes, les additifs alimentaires, les produits chimiques agricoles (pesticides, organophosphorés), les métaux lourds, les gaz toxiques, les détergents, les solvants organiques.
Il contribue à réduire l’excès de gaz intestinaux.
Dans les maladies rénales : la prise de charbon activé a permis d’éviter la dialyse.
Posologie :
C.B.C Complexe B charbon, 2 à 3 gélules par jour avant les repas.
Boite de 200 gélules 26€. Labo Fenioux. Tel : 02-54-27-54-12
Troisièmement : restaurer la masse musculaire
Le fait d’être alité fait fondre les muscles ce qu’on appelle la sarcopénie.
SEAPIAX apporte des protéines de seiche hydrolysées qui contribuent à l’augmentation de la masse musculaire et au maintien de celle-ci (notamment chez les sujets âgés).
Ce nutriment du muscle s’utilise en reprise d’activité physique et sportive. (Il est courant de constater chez les athlètes des performances).
Posologie :
Prendre (2 matin, 2 midi et 2 soir) 10 minutes avant les repas.
Cure de 2 à 3 mois, à renouveler au besoin.
Boîte comprenant 80 gélules. (32 €). Labo Le Stum.
Quatrièmement : restaurer l’énergie
Le coenzyme Q10 active la production d’énergie sur le plan cellulaire.
Tous les processus physiologiques qui exigent une dépense énergétique ont besoin de CoQ10.
Il est d’ailleurs présent dans toutes les cellules du corps, notamment dans le cœur, dans les muqueuses des gencives et de l’estomac, le cerveau, les yeux, le foie, les reins, la prostate et les spermatozoïdes.
Ce Coenzyme joue un rôle dans le système immunitaire et le vieillissement cellulaire.
Il est établi que de nombreuses pathologies et désordres fonctionnels sont associés à une diminution des niveaux de CoQ10 (fatigue, douleurs musculaires, dysfonctionnements du muscle cardiaque, neuropathies, prise de statines et de béta bloquants, anosmie, convalescence interminable, etc.).
Conseils d’utilisation :
Co-Qtion10 : 1 gélule à avaler avec un verre d’eau, matin et soir au cours des repas.
Des effets positifs sur l’énergie sont observés dés 10 jours de prise (cardio-protection, récupération après infections, parodontose…)
Cure de deux à trois mois à renouveler.
Boîte comprenant 45 gélules. Labo Le Stum.
Puis neutraliser le stress oxydatif
Avec l’âge, les niveaux endogènes de glutathion -l’anti-oxydant de référence- s’amenuisent.
Dès 40 ans les pertes de glutathion sont de l’ordre de 30%, et peuvent atteindre 50% à partir de 65 ans.
La formulation innovante de SUBLINTHION (par voie sublinguale) permet une stabilité et une biodisponibilité supérieures aux formes conventionnelles.
Conseils d’utilisation :
2 comprimés par jour. Boite comprenant de 60 comprimés. Prix 28€.
Cure de 2 mois. A renouveler au besoin. Labo Le Stum. Tél : 02 97 88 15 88.
E-mail : contact@labo-lestum.com- www.labo-lestum.fr.
Enfin, le sauna sec : le nec plus ultra
Lors d’une Newsletter j’avais évoqué les bienfaits d’un sauna Japonais. Il diffuse une chaleur douce dans tout le corps, grâce à des rayons infrarouges longs, permettant ainsi de transpirer en profondeur.
De cette sudation en résulte une détoxification profonde et efficace permettant à l’organisme, de mieux éliminer les graisses, les déchets toxiques, les métaux lourds et de se régénérer plus rapidement.
Le soin dure 30 minutes avec une première partie assimilée à un bain de soleil et une deuxième partie qui s’apparente à une activité sportive intense provoquant ainsi une forte sudation.
Après 5 séances on assiste à une récupération inespérée.
La profonde transpiration entraînée par une séance de IYASHI DOME équivaut à celle d’une course de 20kms.
En perdant jusqu’à 1200 ml de sueur, ce sont en moyenne 600 kilocalories qui sont éliminées à chaque séance de 30 minutes.
C’est un Anti-âge remarquable.
Ce sauna présente des bienfaits au niveau de la peau, notamment sur la régénération des cellules : les rides sont atténuées, la peau est plus lisse, plus ferme et plus hydratée, le teint devient plus lumineux et homogène…
Une cinquantaine de lecteurs ont pu apprécier ses bienfaits exceptionnels.
Ils ont observé sur la serviette blanche un dépôt de métaux lourds (taches différentes selon l’élimination des métaux et des toxines).
Certains ont franchi la rue du Général Beuret pour me remercier (l’institut fait face à mon bureau des Médecins aux pieds nus).
Parmi ceux qui ont testé le sauna : Victor 93 ans, personnage très attachant, vient de Rennes et est resté une semaine à Paris.
Il présentait un abdomen proéminent, et des chevilles gonflées. (Après 5 séances il est reparti en Bretagne complétement ragaillardi. Beaucoup d’autres peuvent en témoigner.
Si vous souhaitez vous y rendre, voici le numéro de téléphone de l’institut (Paris) : 06 30 28 72 55 / 06 30 20 32 31
On peut aussi recourir au Miha Bodytec qui prodigue une électro myo stimulation.
Ses actions sont multiples (cellulite, culotte de cheval, soulagement des douleurs dorsales, augmentation des performances, de la force musculaire, de l’endurance, perte de poids) …
Après 5 ou 10 séances, un appareil apprécie les changements opérés (âge physiologiques, tonus cardiaque, éliminations des toxines…).
Et toutes ces séances sans recours aux thérapies !…
Portez-vous bien !
Jean-Pierre Willem
PS : Pour ceux qui veulent approfondir leurs connaissances, je vous recommande la lecture de ces livres :
- « Pollutions et santé » Ed. Dangles
- « Les huiles essentielles, médecine d’avenir » Ed. Dauphin (best-seller : 250.000 livres)
- « Tout savoir sur les virus et y faire face » Ed. Dauphin (mai 2020).
Bonjour. Je lis avec attention vos recommandations mais vous n’évoquez jamais la problematique du coût de vos medicaments alternatifs : un boite de ceci 26 euros , une autre boite a 28 euros. Tout ca jamais remboursé ! Comment fait on quand les moyens sont limités ?
Ce n’est peut etre pas votre problème me direz vous ?
Bonjour,
Votre sauna japonnais correspond t’il à une cabine à infrarouges ?
Si on porte un pace maker peut-on faire des saunas japonais ?
Merci de votre réponse.
Rose MALLETON
Bonjour,
Peut-on démarrer certaines des cures en meme temps ? Ou bien faut-il respecter chaque étape suite à la suite ?
Merci !